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ment renfermer plusieurs ovules ,, an lien d’un ou peut-être
deux que conti^nf eelui àcs „P$oralea.
Enfin ç© nou^seau^enrej compare' à Anus, ceux que j&j(|on-î
nois parmi les Eàpdionacées;, en diffère par la structure des
ailes de la çoroMe?; çd^esj^iî ont mû®ri
vers le mfliexideiyg longueur '( f c i l« oreiileÉtov^illantfe^ ou
crochet aigu qui est distinct du limbe mênir-nui lio+x d en faire
partie comme dans toutes les autres fleurs papifjbhaçées'^'ci? est
de là que j ’ai tiré lè nojn qujjVeut dire aile à^ pjlfcttè
fÿàbMfa)' J’ai donné à l ’espèee le;nonxd’CE Bur-
chelMi , pour rappeler;Gelui du naturaliste qui f a déepiEverte
et me l ’a , communiquée.
S ’ifest assez; facile d’établir que 1’ 0/o^e»a forme xxn.ige.nre
distinct, il l ’est beaucoup moins de dire à- quelle division de
la famille il faut le rapporter. §epvéfeniines monadelphesxet
sa ressemblance avec quelques Psqreileg, peu vent, iaime-eroire
que ce genre doit être placé lés Eénistées sa>tige un
peu volubile ,, ses stipelles et. sqn ovaire- linéaire se|t; poly-
sp ern a equ ’il va dans les J?hasé©lées. Dans lâiprÉmoere.opi---
xxion, i l diffère de toutes l#^fiénistées par ses stipeilesf dans
la deuxième , du. presque toutes lesyPhaséolées par ses éta-<
mines monadelphes 5, et quoique, ce dernier. caractère passe
pour plus important que.celui des stipoüesi, j ’ai un penebant
assez prononcé pour croire que sa place naturelle sera près
Au Clitoria. Ea connaissance, des fruits;, et surtout celle des
graines et de la germination pourra seule éclaircir ce. doute.
Dans cet état dé choses > voici la descriptionnditailëe' d®
la.plante qui fait le sujet de cet article.
. Q.toptera, Burchellii.TsA). 4to* s
m o t i :ES' a »
^Surch. cat. g eog r.p l. A fr . aust. n.
5 Ea plante é n t i a ] :)té';! Sa*tige1 filiforin’e , cyhndriqué,
allongée', seffiMe , dhqfrèséte^Sfefci, un peu grimpante; tes stipulés
sont oblun^hëlîf ^fixées par le: êSuttfe , c’ests’ayajpt
un limbe obloog, ün peu aigu, dressé, prolonge
par la basé fen uriéî oreillette aussi grande que lelimbe
lui-même , ■’tëVdemêtne formé.'ïA":pétiofle' est anguleux, long
de*§ix lignes?; 'Ms folMës’, au nombre de trois, oblotegtfëx, lan-
'Cédleésy acuminées, m'ébéqifees^'retictiléês, djptx vert pâle ;
une tèi'minale^b'^ué de douze à quifï^’dignes ;sur deux'de
JïdgërÉt, munie dé dèu#>§ïlpëjlès ; deux latérales
situéespàrffpairê", prësquèltku milieu du pétiole, longuèé de'
. nenptàîdÿx-lignés Seufémènt ,% t munies chacune d’une seulé^
r4||pmê]Ms‘stipëIftes sont longùeslfetàïguêé.
« ï'.Ees pédoncules riaissënjfcrde raisselleÿèpnitj'ongs d’un pouce,
étalée,'‘êÿMifôil&iqdeS, terminés par deux pédlfcelleSdèwtts, qui
portent chacun une sferrlè'fleur. A la btÉé des pédiééïlèÿ sè
trouVërifc deux bractées odgiiès ’, et- deux petites ïrràéïébtes
sitaéêsnn sommet du pédicelle sont appliquées sur le cabre:
Ee cabêé a^ïSn tube court , aminci à la Base ; il së ditîse
èh cinq lobés aigus, dont f ésdéuxsupérîêuts sont si rapprO-
clîés qtéon pourroittès prendre facilement qjour une lêtre
indivise;* et des trois autres celui du milie€ est plus long
1 que les deux latéraulVfflf
La corolle est papilîeMÉeêS^ l ’étendard est grand, arrondi-,
muni d’un onglet très-court ; les ailes obïonguès ; obtuses ,
rétrécies en un onglet aêéêz long, muni vers le milietf de sa
longueur d’une drfeilfettê- ëpoc^de^ la caréné à deux pétales
libres et onguiculés à la basesoudés au sommet, courbés
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