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DEUXIKME PARTIE - CllAlMTR!': XXX
ZscHOK (baron do^ Possède, en AuLriclie, un herbier dans lequel
sont plusieurs parties importantes de celui de Nees.
ZuGCAGNi. Son herbier, mangé par les insectes, a été jeté quand
on a formé l'herb. central italien à Florence (Parlat. Mus. de
Flor., p.
ZUCCARINI. Son herb, de 30,000 esp. est dans Therb. roy. de
Munich (Marlius, Das koen. Ilerb., p. 13).
ZwACK. ZicJienes : herb, de l'Univ. de Leipzig.
P O S T - S G R I P T L
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f , Pendant la duroc de l'impression j'ai eu connaissance, par hasard, ou à la
suite de publications réceutes, de quelques détails qu'il me paraît utile de
mentionner.
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L A T I N CLASSIQUL] ET LATIN DE LINNÉ
.f Addition aux pages 3o et 247
:
V.1]
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1-
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A iVippui de nies obscrvalions sur Tobscurité du latin classique
et la clarté supérieure de celui de Linné, j'ajouterai deux exemples.
Le mot cVaprès les meilleurs dictionnaires latins (1)^
signiiiait chez les Romains convexe, ou concave. Linné (Phil. bot.
éd. 1, p. 46) prend ce mot dans un sens unique, celui de convexe
des langues modernes, soit bombé, et le mot conccmis (p. 48) dans
le sens de concave^ soit creux.
Elevare, chez les latins, signifiait élever^ ou abaisser (2)^ et
elevatihs avait aussi deux sens complètement opposés, élevé ou déprimé.
Linné (Phil. bot. éd. 1 p. 46) emploie le mot elevatus pour ce
qui est relevé et appelle ce qui est déprimé dep^essiis. Chaque mot
n'a chez lui qu\m sens.
En cherchant on trouverait beaucoup d'autres exemples. Pour
les naturalistes qui désirent employer convenablement le latin
(i) NovitUcs seu DicUonn.^ in-4^ Paris, 172L Forcellini, Lexicoû
ln-4^ Patavii, 17:28. -
(â) Memes dictionnaires.
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