lUÌMILUI': l'AllTlK — CHAPITHE
disLiiiguo du midi de rAngleLerre jusqu'aux Orcades.
Le résultat en a été un vrai modèle de persévérance, de
méthode et de précision, avec des notes ou chapitres
additionnels d'une grandeportéephilosophique. Quelques
auteurs de tlores ont donné des aperçus amilogues, mais
pas d'une manière aussi complète, ni sous une forme
aussi claire et aussi condensée.
ARTICLE V
CONCLUSIONS.
Puisque l'immense majorité des recherches d'organographie
et une portion notable de celles de physiologie
et de botanique géographique doivent aboutir à une
connaissance plus complète des groupes appelés classes,
familles, genres et espèces, il est aisé de comprendre ce
qui mérite d'être appelé un progrès dans la rédaction
des mémoires ou livres sur les organes, les fonctions
et les habitations des plantes. Evidemment ce doit être
de rapprocher leur rédaction des usages suivis dans les
descriptions de groupes, afin de rendre la fusion plus
facile.
On doit désirer, par conséquent, l'emploi de termes
fondés sur les mêmes principes de nomenclature, une
disposition des faits régulière dans toutes les branches
comme elle l'est dans les descriptions de groupes, l'emploi
des noms botaniques au lieu de noms vulgiiires,
du latin, quand cela est possible, etc. Sous ces divers
DESGKIl'TIONS DE GliOUi'KS FAITES PAHTIELLEMEM 179
rapports les publications d'organographie sont restées
bien en arrière, surtout celles qui concernent les organes
microscopiques. L'évolution de ces ouvrages se fait lentement;
mais si l'on réfléchit, si l'on veut proliter de
l'exemple donné par les descripteurs de groupes, les
améliorations peuvent devenir plus rapides et plus sensibles.
Je reviendrai sur ce point dans le chapitre XYL
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