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 CHAPITRE  XXVI  
 LIVBES  AT'XITJÂTRES  PLUS  OTT  MOTNS  UTILES  POT'R  l^UF.E  
 DE  BONNES  DESCRIPTIONS  SOTT  D'ORCtANES,  SOIT  DE  GROTiPES.  
 Dans  toute  espèce  de  travail,  un  auteur,  môme  ha- 
 ])ilué  aux  rédactions,  est  obligé  de  consulter  certains  
 ouvrages  qui  donnent  des  renseignements  sur  les  définitions  
 de  mots  ou  de  termes,  sur  les  titres  et  dates  des  
 ivres  publiés,  les  noms  de  genres,  espèces,  etc.,  existant  
 dans  la  science,  les  règles  de  la  nomenclatature, 
   etc.  J'appelle  ces ouvrages  auxiliaires,  et comme  il  
 s'agitici  de leur  utilité  dans  la pratique,  je  les  diviserai  
 on deux  séries,  ceux  qu'il est  presque  nécessaire  d'avoir  
 chez  soi,  parce  qu'ils  peuvent  servir  dans  un  momeirt  
 quelconque  impossible  à prévoir, et  ceux qu'on  est  appelé  
 à consulter  de  temps  en  temps,  selon  la  nature  du  sujet  
 dont  on  s'occupe,  et  à  la  lin  d'un  travail  plutôt  que  
 pendant  la  rédaction.  
 1°  Ouvrages,  usuels,  à  peu  près  indispensaUes.  
 Il  ne  peut  être  question  sous  ce  titre  que  d'ouvrages  
 in-8°,  faciles  à  consulter,  et  rec.ommandables  ,  d'ai- 
 LIVRES  AUXILIAIRES  PLUS  OU  MOINS  UTILES  
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 leurs,  pour  le  fond  aussi  bien  que  pour  la  forme.  Je  les  
 indiquerai  sans  oublier  la  distinction  des  trois  langues  
 principales,  car  évidemment  chaque  botaniste  préfère  
 un  livre  écrit  dans  sa  propre  langue.  
 Pour  les  défmitions  de  termes  ou  de  noms  d'organes  
 un  peu  anciens,  la  véritable  source  est  U%nè  PMlosopUa  
 hotcmica,  mais  comme  livres  usuels,  conformes  à  
 l'état  de  la  botanique  dans  le  xix"  siècle,  il  vaut  mieux  
 avoir  sur  sa table  deux  ou  trois  des  ouvrages  suivants  :  
 De  Candolle(A.  P.).  Théorie  élémentaire  de  la  botanique, 
   un  volume  in-8".  édit,  2,  1819.  et  édit.  3,  
 1844  (1).  Une  table  des  noms  latins,  grecs  et  français  
 renvoie  aux  définitions.  
 Presque  tous  les  traités  de  1820  à  1840,  et  même  de  
 plus  récents,  contiennent  des  définitions  tirées  de  cet  
 ouvrage  et  peuvent  servir  également.  C'est  le  cas,  par  
 exemple,  de  Lindley,  Introduction  to  botany,  in-8°,  
 édit.  2,  1835,  où  les  définitions  sont  en  anglais,  et  de  
 BiseJw},  Lehrbuch  :  Anhang,  enthaltend  die  botanische  
 Kunstsprache  in  Form  eines  Woerterbuches,  1  vol.  in-8^  
 Stuttgard,  1839  (2),  où  elles  sont  en  allemand.  Le  nouveau  
 Dictionnaire  de  botaniciue.  par  Germain  de  Saint- 
 Pierre,  1  vol.  in-8o,  Paris.  1870,  est  d'un  emploi  
 commode  pour  les  lecteurs  français.  Les  mots  contenus  
 dans  ces  ouvrages  sont  souvent  plus  nombreux  que  
 dans  Théorie  il  y  a  de  l'avantage  à  consulter  les  
 (1)  Cette  dernière  édition  est  plutôt  ^"-Pf  
 . i ou  é  des  termes  et  noms  d'organes  introduits  depuis  1819  La  t.aduction  
 X m a n d e !  ^ar  Roemer,  a  été  faite  sur  la  première  édition,  qui  est  la  moins  
 complète  quant  aux  noms  et  termes.  
 C2)  Bisehoir  a  publié,  en  1833,  un  ouvrage  beaucoup  
 trois  volumes  in-4o,  assez  mal  arrangés,  avec  planches,  ^^  
 minologie,  donnant  ainsi  l'exemple  d'un  barbarisme  greco-lat  n-  G «  ^  un  Ime  
 Tc^nsuUei-  dans  des  cas  spéciaux,  tels  qu'il  s'en  présente  quelquefois  Ala  lec  
 t u r e  des  auteurs.  
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