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308 PREiMIEUE PAllTIE — CHAPITRE XXllI
plies ct dispersés do bons aiiLeurs, eii publiant des
tables ancilytiques détaillées, qui renverraient à ehacune
des publications (1).
(1) Uii travail de cette nature est Lien désirable pour les oeuvres d'Alexandre
Braun. Les principaux mémoires do ce savant ingénieux sont dans toutes les
bibliothèques, mais l'ordre des idées et des faits n'y est pas très clair, et
pour une seule recherche, il faut lire la matière d'un petit volume. Ses communications
aux sociétés botaniques, académies et journaux, se comptent par
centaines. Une table analytique détaillée servirait comme index, et, en outre,
comme résumé de chaque opinion de Fauteur. CHAPITRE XXIY
DES TRADUCTIONS.
Les naturalistes ayant abandonné le latin dans tout
ce qui n'est pas purement descriptif de genre ou d'espèce,
les traductions sont devenues de plus en plus
nécessaires. Non seulement elles font connaître les
ouvrages écrits dans certaines langues peu connues, mais
elles étendent le cercle des lecteurs pour les publications
faites dans les langues principales et gagnent du temps
aux personnes qui savent ces langues médiocrement.
Un livre de botanique traduit en français, en anglais,
ou en allemand profite à l'immense majorité des botanistes,
car il y a bien peu d'hommes instruits qui ne
connaissent deux langues, et en particulier une des
langues principales outre la sienne. Ainsi, les traductions
de l'allemand en anglais peuvent servir aux
Français ou aux Italiens qui savent l'anglais et non
l'allemand, de même qu'une traduction de l'anglais en
allemand peut servir à des Russes, des Hongrois, etc.-,
qui savent l'allemand et non l'anglais.
Ce serait donc une chose très louable à des Sociétés
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