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fractions entre les chitïres. Dans la pratique ce serait impossil)
le. Le s ouvrages seraient confus et incommodes
si les auteurs ne mettaient pas partout des numéros
d'ordre un peu arbitraires, de même qu'ils énumèrent
comme familles des groupes qu'ils hésitent à appeler
tribus, ou comme sections ce qui leur paraît presque
des genres. Dans le langage les mots ne répondent
pas toujours exactement aux idées et doivent cependant
être employés. On est obligé aussi de préciser outre
mesure dans les livres certains arrangements naturels
pour rendre le texte plus clair et faciliter les recherches.
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CHAPITRE XI I I
DUTICULTÉS DANS LES DESClUPTIONS PKOVEXANT DE MODE
DE NOMENCLATURE DES ORGANES.
Si l'on réllécbit au sens des divers mots considérés
comme noms d'organes on verra sans peine qu'ils s'appliquent
à des choses assez dilierentes, savoir :
P Des parties distinctes, soit dans tous les végétaux
3rotoplasma, cellules), soit dans des classes importantes
racines, tiges, feuilles). Ce sont là de véritables organes,
essentiels, fondamentaux, qu'on désigne par des noms
simples.
2° Des combinaisons de ces organes, par exemple, des
agglomérations de cellules (tissu cellulaire), des rapprochements
ou fusions de feuilles et de tige ou ramiftcations
de tige ( fleur, fruit, bourgeon, ovule, graine).
3° Des état particuliers de situation, division, âge,
forme, consistance, etc., des organes simples ou composés
qui précèdent, comme l'épiderme, les dermatogène,
plérome, stomates, etc.; les radicelles, rameaux, etc. ;
les poils, écailles, etc., les cotyledons, feuilles primordiales,
bractées, sépales, etc., les vaisseaux de toute
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