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gaux ; les ombelles partielles sont à 7-8 fleurs blanches et assez pe-
' ’ CS fl'UltS Sont Alabres ’ ovoïdes , relevés de 5 à 7 nervures
nuesanl t Sd’ OV r0UV- SUr kS IDêmeS PledS deS ° mbeJles absolument
générale T ^ ^ * la base de l’ombelle
g ou partielle ; cette*mème variation a lieu dans le B. saxirage
et semble devolr autoriser Ja ^ ^ ^
dans e meme genre, c f . Elle croît sur les bords du lac de Genève ,
! 1 / N Ja 6 6 °bSerVee Par auprès de ]\yon. GaSPard et notamment
34i 9a- Séséli verticillé. Seseli verticiUatum
S. -verticiUatum. Desf. Fl. atl ,, p. 26o. - Dalech. hist. 695 , f. 2.
Cette plante est glabre, droite, grêle, rameuse, haute’d’environ
un pied , ses feuilles inferieures sont ailées, à segmens nombreux ,
divises en lobes grêles, sétacés et disposés autour de l’axe commun
comme s ils étaient verticillés ; les feuilles supérieures ont ces lobes
p us longs, plus fins et moins nombreux.; les ombelles sont droites
sans învolucre , à 5-8 rayons,, dont ceux du milieu sont beaucoup
plus courts ; les ombelles partielles ont une collerette à 5 ou 7 petites
folioles fines et aiguës; les fleurs sont blanches, fort petites. Q Elle
a ete trouvée a Bonifacio en Corse , par M. Lasalle; aux environs de
rlorence , par M. .Moricand.
34-io. Séséli carvi. Seseli carvi.
Ses graines sont aromatiques , et servent dans les Vosges à mettre
dans les fromages : c est cette plante que Willemet a indiquée dans sa
F ore (Phyt. 1, p. 254) sous le nom dè'iagoecia cuminoïdes >
3 4 ^ . , Im p é ra to ire de mon- lmperatoria mon,mm.
tagne.
t r *.ct m \oes_« a,..
com^ëï ° ’ *W - ” P ™ * * » » * à leur has.
comme, dans 1 1. sauvage , sont décurren. et prolongés le long de Ja
coté p„nc,pale ■ ce caractère la rapproche de l'angèlique de H.soul,,
et la fait confondre avec elle par quelques auteur.; mai» elle en
différé par ses feu,lies entièrement glabres, à lobes plus larges, et
dont les inferieurs ne «m, pa, décurren», et par l'absence de I,
c o lle r e t t e g e n e ra le , f . C e t te p la n te m 'a é té communiquée p a r
D E S c m b e l l i f è r e s . 5 o 5
M. Chaillet, qui l’a trouvée dans le Jura. Elle croît aussi dans les
Alpes.
34a6®. Cerfeuil cultivé. Chcerophyllum coerefolium.
Cette espèce très-connue a été placée par erreur dans la troisième
section, sous le n° 3431 , mais elle a le fruit lisse, et doit être rapportée
à la première section sous le n° 3426*.
34a6b. Cerfeuil à collier. Chcerophyllum torquatum.
Myrrhis bulbosa. Ail. ped. n. i 373, excl. syn.
Toute la plante est entièrement glabre; sa tige est droite, peu
rameuse, haute de 2 à 4 pieds, creuse à l’intérieur, très-peu renflée
sous chaque noeud; les feuilles ressemblent à celles du C. sauvage
; leurs lobes sont souvent confluens, ovales, incisés en dents
oblongues, un peu mucronées ; les branches supérieures qui portent
les ombelles sont opposées, et les feuilles qui les accompagnent sont
aussi opposées ; les ombelles générales ont de 5 à 7 rayons et point
d’involucre ; les ombelles partielles ont de 8 à 10 rayons et un invo -
lucre à 4—5 folioles ovales-oblongues, pointues, réfléchies, bordées
de poils ; les fleurs sont blanches, celles du bord un peu plus grandes
et fertiles, celles du milieu pllus petites et stériles; les fruits sont
lisses, même luisans , allongés , un peu amincis et striés au sommet,
très-remarquables en ce que chacun d’eux est entouré à sa base par
une petite rangée de cils courts et réguliers, <ƒ-? J’ai trouvé cette
espèce dans les Alpes de Provence , à la vallée de Colmars, en fleur
au milieu de juin. Je l’ai reçue de M. Balbis, comme étant celle qu’AI-
lioni a trouvée en Piémont entre Moncalier et la rivière de Sangone.
3427®. Cerfeuil bulbeux. Chcerophyllum hulbosum.
C. bulbosum. Lin. sp. 370. Gmel. Fl. bad. 1, p. 700. _Hall. n. j 53.—
J. Bauh. hist. 3 , p. i 83, ic.
Sa racine est un tubercule ovale, charnu, blanchâtre ; sa tige est
droite, haute de 3 à 5 pieds, hérissée dans le bas T glabre dans le
haut, fistuleuse, renflée sous les noeuds, souvent tachetée de points
rougeâtres; les feuilles sont d’un vert clair, déchiquetées en lobes
linéaires tres-menus et très-nombreux, presque toujours glabres;
les ombelles sont de grandeur médiocre, à 7 - 1 0 rayons; la collerette
générale est nulle, ou a une seule foliole très-menue; les ombelles
partielles en ont 3 , 4 ou 5 ; les fleurs sont blanches, les fruits glabres,
ovales-oblongs, relevés de nervures saillantes, o*. Elle croît
en Alsace dans les buissons, les haies et les vieilles murailles aux
environs de Mulhausen (J . Bauh.), Lingelsheim, Mundolsheim