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CHAPITRE V.
l ' a t l a î n ï i q u k .
É ta t s a n ita ire do l’éq u ip a g e .
Depuis le jour où la Bonile avait quitté le port de
Toulon, le poste des malades se trouvait occupé par
une vingtaine d’hommes, atteints d’affections plus on
moins graves. Quelques-uns expiaient par de cruelles
souffrances les dangereux plaisirs que le marin cherche
trop souvent dans la débauche ; d’autres, en plus grand
nombre, payaient leur tribut à l ’biver, par des angines
et des bronchites, que devait bientôt faire disparaître la
température plus douce des régions tropicales.
Cependant le temps était beau eu égard à la saison ;