CHAPITRE XII.
L E S BAL E I N I E R S .
A u x horreurs de la lempête
Gaiement j ’exposai ma tète;
J’affrontai les p é r ils , la fa im , les noirs frimas;
Et su r c e grand n a v ire , au x gigantesques m â t s ,
Je pou rsu ivis , au sein des mers profondes,
La baleine q u i souffle en sillonnant leurs ondes.
Désormais le plaisir
Est mon seul d é s ir ;
Adieu tempêtes !
V iv en t les fêtes !
Assez longtemps je fus marin.
V iv e la te r re ! à m o i, bon vin !
A m o i, femmes jo lie s !
A m o i , roses fleurie.s !