
foutesj de mémo que les pennes de î®
queue sont d’un vert ci reuets doies; les
pieds s mes ddenerons très acérés , sont
ainsi que le bec d’un, jaune brun ; l’iris
C»SÜ QU.il jaune cuir.
La Pou te Ayamalas diffère egalement des
P viles vulgaires par le port de sa queue,
par la forme des plumes du cou, et par
l’absence totale des barbillons et de la
crête: elle mesure quatorze pouces depuis
le bout du bec jusqu'à l’extrémité de la
queue.
Cette Pouie a seulement le tour des
y eu x , ainsi qu’un très - petit espace derrière
chaque oeil dénué de plumes et de
couleur livide -, les plumes du haut de la
tête et de la partie postérieure du cou,
sont d’un gris brun terreux; au dessus
des yeux est une espèce de sourcil d’un
roux jaunâtre ; la gorge est blanche ; la
poitrine, le ventre et l’abdomen, sont
d’un gris Isabelle sans taches ; les plumes
de la poitrine «ont bordées de
noirâtre : le dos ainsi que les petites
equvt-turcs des ailes sont dun vert fonce
à refîèts dorés, les plumes de ces parties
sont liscrées de gris brun, et une raye
jaunâtre occupe leur centre ; les grandes
couvertures • et les pennes sécondaires
Sont d’un noir à reflèts de •vert - doré ;
toutes sont- 0*idées transversalement de
jaunâtre, et le;Ér extrémité est entiè rement
de cette couleur ; les grandes pennes
de la queue sont brimes avec de légers
reflèts de vert ; elles sont bordées de
roussûtre clair ; les rémiges sont d’un
gris brun clair ; les pieds et le bec sont
bruns.
Cette belle espèce est • très abondante
dans les grandes forêts de l’intérieur de
l’île de java, elle se tient communément
pendant le jour à la lisière des bois ; son
naturel est farouche, attentif à se cacher
au moindre indice de danger, il est divri-
çile de l’approcher pour ' la tuer. Les
habitans ne nourrissent point des Coqs de
cette espèce en domesticité, pareequ’ils se
privent difficilement ; l’on nous a cependant
assuré qu’ils produisent avec les races
de Poules domestiques ; particularisi.
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