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en totalité, soit en grandie partie, qui n’avaient
point été payés auparavant, ils aient à rétablir
les choses sur l’ancien pied, en renonçant à la
perception de ces nouveaux droits, et j’affranchis
de cet article les comptes soumis à révision.
» J’ai déjà auparavant reprimé le pouvoir démesuré
des. receveurs , des-finances, parce que
tout le monde les accusait de surcharger le plus
souvent leurs côtes de contributions, ce qui
leur a procuré les moyens de s’enrichir en ruinant
1 Egypte; et maintenant encore, je leur
défends absolument de faire aux extraits de
rôles, tantôt une addition, tàntôt une autre, à
moins que le préfet ne fait jugé bon. Je défends
également aux stratèges de rien prendre des
receveurs des finances, sans un consentement
du préfet.
» Quant aux autres employés [ dans les
finances ] , si l’on en trouve qui aient fait
quelque surcharge fausse ou illégale, ils seront
obligés de rendre aux particuliers tout l’argent
qu’ils leur auront extorqué, et d’en payer autant
au trésor.
» Je regarde encore comme une de ces pratiques
condamnables, ce qu On appelle perception
comparative, laquel^ s’établit, non pas sur