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LE RENARD ARGENTÉ.
V . .C . . . , , p , « d . Renard, Mnnne „ reeherehie depni, K«„ i
cause de la finesse de son pelage et des belles fourrures qu’on en tire e fq ’ui
cependant n a po.nt encore été représentée. Les naturalistes même n’en
eu didee bien nette jusqu’à .ces derniers temps. B r . s s o n , L i™ us E r x ™
G m e r ik , ne ont point admise, et les deux derniers l’ont confondu i f f i f c
nom; P e n n a n t ne la fonde même encore que sur les rapports de C h a r l e v o i x
et de L e p a g e -u u - P r a t z ; ces. à M. G e o e e r o y - S a i k t - H . J r r qu’on en doit une
description exacte (Cafal. des Mamm. du MuséumV il la fii ,1 • À- j
^padld de « U dpnr. S t î
Dictionnaire des Sciences naturelles, la première qu’on ai. de cét animal L’in
dividu quelle représente a été donné à la Ménagerie du Roi par M M o y d ie r
maître des requetes intendant de la Marine à Brest, où il avait été amené dé
1 Amer,que septentrionale par un vaisseau revenant de Terre-Neuve
Cet animal, qm est très-doux et bien apprivoisé, a la taille du Renard ordi-
naire. Voici ses principales dimensions :
Longueur du corps, depuis l’occiput à l’origine de la qu eue .. . ! pieds. 5 pouces.
de la tête, de l’occiput au bout du museau................. « g
— de la queue . .........................
Hauteur du train de devant ........................................ r
—* de derrière......................................
Toute son organisation extérieure est exactement semblable à celle du Renard
commun . ,1 en a les sens, les membres, les dénis, les organes de la génération •
ous Ses mouvements et toutes ses allures sont les mêmes; il marche comme lui, la’
la queue basse; ses regards montrent de la défiance et de la pénétration-
en un mot, il serait notre Renard s’il était fauve au lieu d’être noir. En effet il est
en îerement de cette dernière couleur, à laquelle se mêlent, dans quelques points,
en plus ou moins grande quantité, quelque peu de blanc. L’extrémité de la
E eesesetpreT devant de ia tête et ies S H M»- ehatres,et que ques poils blancs se détachent de toutes les autres parties du
p âge, et semblent ne faire que mieux ressortir le lustre éclatant du noir Les
po. s du corps et de la queue sont longs et touffus; des poils soyeux, très-épars
m m m m P PreS<ï ue nôir> recouvrent la peau immédiatement, et la
ü de lammal est due aux P°iU S° ieux H sont en général d’un noir très-
brillant, quelques-uns sont terminés par une pointe blanche, et un plus petit
mmuuTseeaauu Ple s onSt "enc'o re davantagMe; la cioule lulrn dles -yeux Sest8 ja uEnâtrte. et ceux" du