LE SAI A GROSSE TÊTE
MÂLE
■ 1 de CB SaO on est frappe de la forme de ea tête, qui le fkit dlstieeuer
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J , et chauve en apparence à cause des poils ras et blancs oui !<*
recouvrent; ses yeux saillants et en quelque sorte sans^rêtes sourd ^es^ on
museau de couleur tannée, tranchante avec la teinte plus pâle qui enttme se"
yeux, et qui se mane avec le blanc du front 5 ses pommettes saillantes etc lui
donnent une de ces physionomies qui rappellent involontairement celles qui
X r t r i r chez - à
Du reste, ce Saï aurait pu être considéré comme une variété du Saï à aorve
blanche, dont il avait les couleurs de la tête et des épaules; ou de notre Saï
H H I I N I <IUeIc>Ue Ch0se des c°uleurs du corps m des
es. En effet, sa poitrine, son ventre, les côtés de ses joues et la face
anteneure de ses bras, étaient d’un blanc .jaunâtre-orangé; la face externe du
bras était blanche; les avant-bras, les cuisses, les jambes et la queue étaient
noirs; et un mélangé de noir et de brun, répandus irrégulièrement par taches
couvrait le dos et les côtés du corps; la tête, à sa partie moyenne et postérieure’
de fav01-6’ et 868 H l l blanchâtres; une b“ de de poils noirs, en forme
de favoris, partait de chaque tempe, et venait se reunir à la bande opposée et
ormer une barbe courte sons le menton; et, entre ces favoris et la peau de la
fece, on voyait des poils jaunâtres, qui s’avançaient sous les pommettes. Les
mains étaient dun violâtre presque noir.
Toutes ses autres particularités organiques étaient celles des Sapaious san s
sition'à MM I aUSSi ,e natUrel de Ces animaux ! une ërande dispo- caresses et d’a f f T ’ B l l extra“ dmairement ‘¡mide; un resses et d affection, et beaucoup d intelligence. extrême besoin de
caramé 1 1 3 “ SaPaJOU’ j’en i S un qui avait le même
ÆrgTdfbZchât:au l i e u d ’ a v o i r ,e pe,age du dos mélan^de