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LE DOGUE DE FORTE RACE.
mUÊBË lévrier> H avons montré 1 modification la plu
■ H H I ce '’espéce du Chien H H tend 4 s’allonger
d'fi t' ^|6 H HHJ te race’ nOUS mc,ntrons aujourd’hui une de
modifications les plus considérables de cette espèce dans le sens opposé, c’est-âdire,
lorsque sa tête tend à se raccourcir; en prenant toujours, pour term<
de comparaison, la race de Chien la plus sauvage, dont le LouJ commun
pour les formes en général, présente une assez fidèle image.
Les changements internes qui ont déterminé les caractères extérieurs de cc
Dogue consistent dans un développement considérable des sinus frontaux, déveoppement
qu, a relevé les os du front au-dessus du nez, et qui a entraîné dlm
la même tbrection toute la boîte cérébrale; d’où est encore résulté que le corn
dyle- par lequel la mâcho.re inférieure s’articule avec la supérieure, qui, dam
e type de 1 espéce, se trouve sur la même Ijgne que les dents, se trouve, chez
heaw* 6 .dV 0rte/ aCe’ H E au-dessus de “ «e ligne ; ce qui diminue
beaucoup la force de cet organe, et n’en fait plus qu’un levier brisé.
aïs le changement le plus important, et peut-être la cause de tous les autres
H f l | " ar Çr f n * lia‘SOn des Premiers avec celui-ci, c’est la diminution
du cerveau. En effet, le Dogue de forte race a la capacité cérébrale sensiblement
m a m í " “ autre race de Chien> et c’est m àoute au rapetissement
de 1 encéphale qu’il faut attribuer l’infériorité de cette race sur toutes les
tres, dans ce qui tient à l’mtelhgence ; car on. sait que ces Chiens ne sont
presque susceptibles d’aucune éducation, qu’ils sont grossiers et lourds, et
propres aux combats, á cause de leur grosseur et de leur force. Toutefois ils
ont susceptibles d attachement : cet instinct primitif de leur espéce ne s’est point
enacé en eux; et s ils ne témoignent pas leurs sentiments avec la vivacité et la
pétulance qu, caractérisent ceux du Brac ou du Danois, par exemple, ils n’en
de eurSnT nS| T B B de leur naturel: ils marchent ave^c lent e^ur e t' ecUoruS rPent loBurdem aennnto;n lceau r,as sorSeillÊes
H pendantes, ne se dressent dans aucune occasion; l’extrémité de leur
queue seulement se relève, et leurs lèvres, tombantes comme leurs oreilles,
recouvrent presque entièrement leur mâchoire inférieure.
moin" HR ü BRI dans cette race' U1* cinquième doigt, plus ou
noms deve'oppé aux pieds de derrière, et les narines séparées l’une de l’autre
1 un sillon profond. En. général leur pelage est ras; mais on en voit à poils