ij T A B L E.
Pourquoi un animal meurt dans le récipient, lorfquon en a dilaté Pair. Page i i
Maniéré de fe fervir du baromètre pour dilater Pair du récipient jufqu’ à un
certain point déterminé. 11
la poudre à canon ne fait point d’ effet dans la machine pneumatique. i j
Un certain volume d’air pefe une fois plus en hyver qu en ete. 14
On n’a jamais exactement la pej,auteur des corps qui ont beaucoup devo'-
lume. # . * S
Le reffort de l’air augmente dans la raifon des poids dont il cfl charge. îbid.
Réglé générale fur la force du reffort de l’air condenfe.
La dilatation de? air en diminue le reffort. *7
Réglés générales fur la dilatation de ? air. i lb l®*
Conféquence de la dilatation de l'air aufujet de l’ afpiration de l’eau dans les
tuyaux. ■ > ., .*?
La chaleur augmente la force du reffort de Vair. , . v lbl^ .*
La force que le reffort de l ’air a acquis par la chaleur, diminue a mefure qu il
peut Je dilater. _ _ ld ld '
Le froid diminue la force du reffort de l’air. , ' l ?
Expérience fur la force que le reffort de l’air acquiert par la chaleur de l eaa
bouillante. U / b ld ‘
Ordinairement en France le plus grand froid de l’hyver ne va qu a un Jixieme
de la diminutïàn de la plus grande chaleur de l’ été. ^ * °
Expériences faites en Angleterre fur le plus grand degré de chaleur dont plu-*
fieurs corps peuvent être capables. ^ ^ } 1
La chaleur du corps humain efi ordinairement égale à celle qui régné fous
l ’équateur. '
Differtation pour faire voir 3 contre l’opinion commune3 que les caves font
plus chaudes en été quen hyver y & plus froides en hyver qu en ete. ^ iZ
Defcription d’une pompe, par laquelle on peut faire monter l’eau a une hauteur
médiocre par l’action alternative du chaud & du froid.
14
L’humidité augmente la force du reffort de l’air.
M
L’ eau efi toute imprégnée d’air. Expérience fur ce fujet.
Remarque fur l’ eau convertie en glace.
ibid.
Conjecture fur la maniéré dont le feu agit pour dilater les fluides.
m
Effets furprenans des cordes mouillées. ^
On peut fe fervir utilement de l’action de l’eau pour deroquer le marbre des
carrières , ou pour fendre les groffes pièces. 19
C H A P I T R E II.
De la théorie des machines mues par le vent, ôc la maniéré d’en
calculer l'effet.
JPi-vàmvk du choc du vent, oh l’on fait voir fa conformité avec le
l’eau.
Expérience fur le choc du vent, pour en connoître le rapport avec
choc de
3°
le choc,
de l’eau. ' . 3 °
•La vîteffe du vent doit être z 4 fois plus grande que celle de l eau pour choquer
' une même furface avec une égale force. - . . ^
Autre maniéré d’ eflimer le rapport du choc de ? air à celui de l eau. ^ îb id.
Maniéré d’eflimer le choc du vent en livres, comme on fait celui de l eau. 3 3
Connoiffant le choc & la vltefle d’un certain vent 3 connoître le choc d un autre
vent dont oh a la vît effe. . 34
Maniéré de connoître la vîteffe du vent 3 en connoiffant la force du choc dont
il efl capable. ^ ib id .
Remarques fur les différentes maniérés dont une furface peut etre choquee par
lèvent.., ib ld *
Origine des moulins cl vent. M 3 5
L’ axe d’un moulin a vent doit être fltué dans la direction du vent. ib id .
Les ailes d’un moulin,pour tourner3 doivent recevoir obliquement l imprefjîon
du veutl ~ - fl- - 3^
Maniéré de trouver l’angle que chaque aile doit faire avec l axe. 5 7
La force relative du vent fiir les ailes 3 lorfqu’ elles font avec l’ axe un angle
de 5 degrés 3 n’ efl qu^environ les de la force abfolué du meme vent. 38
Maniéré de faire le calcul de l’action du vent fur les ailes d’un moulin ordinaire.
ib id .
Remarque fur l’importance de faire que les ailes d’un moulin forment avec
£ axe un angle de 55 degrés. 4 °
Examen de la figure la plus avantageufe qu’on pourroit donner aux ailes des
moulins à vent. - ib id .
Pour qu’un moulin faffe le plus grand effet, il faut que la vîteffe des ailes 3
prife à leur centre de gravité'3foit le tiers de celle du vent. 4 1
Defcription d’un moulin dont les ailes tournent horifontalement. 4 Z
Formules générales pour calculer 1 effet de toutes les machines mues par le
vent. f 43
Defcription d'une machine mue par le vent 3 fervant à dtjfecher un terrein
aquatique.-, . 4 4
Maniéré de faire le calcul de l’aclion du vent fur les ailes de cette maehine. ^ 45
Autre calcul pour découvrir la quantité d’eau que la meme machine epuifera
par heure. 4 **
Defcription d’une pompe afpirante mife en mouvement par l action du vent, 4 7
Dejcrïption d’un moulin à vent pour dejjécher un terrein aquatique. ibid>
Calcul du même moulin, eu égard à la vîteffe du vent, pour connoître le poids
de l ' eau qu il peut élever. 4 ^
Eftimation de la quantité d.eau que ce moulin peut epuifer par heure. 49
La grandeur des barrillets du chapelet doit être proportionnée a la hauteur a
Laquelle il faudra élever l'eau. - . . .
Defcription d’une machine pour arrofer un terrein aride. ibid>
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