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celle des piftons, à l’aide d’une roue ôc d’une lanterne de'fer'; ce
qui fera aifé à exécuter après tout ce que l’on a vu dans le cours
de cet Ouvrage, fur la maniéré de communiquer le mouvement
aux pompes j c’eft pourquoi je n’en donne point d exemple, ôC
finis par ce Chapitre çe que je jn ’étois propofé de dire fur les
machines en général.
Il me refte à expliquer l’origine des fontaines., la manière d’en
découvrir les fources, êc d’en conduire les eaux, foit par des tranchées
, aqueducs, ou tuyaux de differentes efpeces j les qualités 6C
fabriques de ces tuyaux j l’emplacement le plus convenable des
regards, robinets, ventoufes, réfervoirs, châteaux deau ôc fontaines
publiques : c’eft ce que l’on trouvera dans le Chapitre fui-
vant, où je ferai enforte de ne rien oublier de tout ce qu il faut
fa voir pour diriger ôc diftribuer judicieufement les eaux dans les
grandes villes ; ce que je me propofe de traiter avec d autant plus
de foin, que perfonne n’ayant encore écrit fur un fujet auffiutile,
ceux qui font chargés de la direction des eaux ne favent ou puifer
les connoillances qui leur font néceffaires.
d u n e a c h m e q