
TABLE DU SECOND VOLUME.
L I V R E T R O I S I E M E .
Où l’on enfeigne la Théorie des Pompes, la maniéré de
les mouvoir, & la Defcriprion de plufieurs belles
Machines pour élever l’eau.
C H A P I T R E P REMI ER.
Des propriétés de l’air, fervant d’introduétion à la Théorie des
Pompes.
E s Anciens attribuoient à Vhorrcur du vuïde les effets de la pejanteur de
de U air. Page i
Toricelly a découvert le premier la. pejanteur de l’air 3 égale à une colonne de
mercure d’environ i B pouces. t
Raijon pour laquelle lé mercure Je foutitnt à la hauteur de iS pouces. ib id .
Preuve que l’élévation du mercure dans un tuyau > vient de la pefanteur de
Pair. ib id .
Expérience faite proche Clermont en Auvergne. $
L’ air ejl en équilibre avec une colonne d’ eau de 3 1 pieds deux tiers de hauteur.
ibid.'
De quelle maniéré Peau monte par afpiration.. ib id .
Maniéré dé connoître la pefanteur de Vatmofphere. 4
Maniéré de connoître la pefanteur d’un certain volume d’air* ib id .
Explication des variations du baromètre. 5
Pair a du reffort 3 & peut être condenfé. 6
Le reffort de l’air agit en tout fens avec une force égale. ibid.
La force du reffort de l’air ejl caufe de la difficulté qu’on éprouve à féparer deux
■corps polis. ' 7
Raifon pour laquelle on ne peut ouvrir fans un grand effort un foufflet dont
toutes les ouvertures font bouchées. . ibid.
Que la pefanteur de l’air ejl caufe de la propriété du fyphon. ib id .
Expérience familière pour prouver la force du reffort de l’air. 8
Dêfcription de la machine pneumatique. ibid.
Maniéré de connoître à quel point îair ejl dilaté dans la machine pneumatique.
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Trouver le nombre de coups de pijlon qu’il faut donner pour dilater Voir jufqtîà
un certain point déterminé. I $
I. Partie, Tome II. a