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. HI STOIRE LITTÉRAIRE.
espèces (le Sauriens appartieni à la famille des Scincoïdiens ; c'est
notre fy^^osoma Gronoviann.
1828. WAGLER. Ce savant erpétologiste a fait insérer dans
1 Isis de 1828 , p. 740, un niëmoire dans lequel il propose 1 établi,
sèment du genre Ophiodes, d'après le Pj-gopus striaius á^
Spix.
1828. WIEGMANN. Un des n^'de l'Isisde ,828 , p. 364, contient
un mémoire de ce naturaliste, Beitráge zur Amphibienkunde
dans lequel il est fait mention d'une variété du Scincus quinquélmeatus,
originaire du Mexique.
i 835. Le même savant auteur, dans son travail sur les Reptiles
recueillis pendant le voyage autour du monde exécuté par Meyer,
a décrit et fait représenter, sous le nom de Pcedlopleurus, un
Mlepharus qui est bien évidemment de la même espèce que celle
appelée Peronii par Cocteau.
1839. GENE (JOSEPH) mentionne le Gongj-lus ocellatus et le
SepsChalcides, dans le Sj-nops^s Repülium Surdinioe indigenorum
qu'il vient de publier tout récemment. (Memorie della reale Academia
di Torino, série II, torn, i, p. 2G8.)
LÉZARNS SCINCOÏNIENS o u SAURIENS I.ÉPIDOSATJRES. 55J
PKErJIÈRE SOUS-FAMILLE.
LES SAUROPHTHALMES.
Ainsi que nous l'avons déjà fait remarquer plus
haut, cette première division de la famille des Sinco'idiens
comprend toutes les espèces dont les yeux , semblables
à ceux de la grande majorité des Reptiles
appartenant à l'ordre des Sauriens , sont protégés par
des paupières mobiles qui se rapprochent, la supérieure
en s'abaissant, l'inférieure en se relevant,
de manière que l'oeil se trouve parfaitement clos. Des
trois sous-familles que nous avons établies parmi les
Scincoïdiens, c'est celle qui renferme le plus grand
nombre de ces Sauriens. On n'y compte pas moins de
vingt-quatre genres , parmi lesquels il en est un, celui
des Gongyles, que nous avons dû diviser en groupes
d'un ordre inférieur ou en sous-genres, qui sont au
nombre de sept, que nous n'avons pas inscrits dans le
tableau synoptique. Mais ces divisions génériques et
sous-génériques sont très-faciles à distinguer les unes
des autres, attendu qu'elles reposent sur des caractères
bien tranchés, et, par cela même, très-aisés à exprimer.
C'est, au reste, ce dont on jugera beaucoup
mieux en consultant les articles qui vont suivre. Aucun
des Scincoïdiens compris dans cette première sousfamille
n'oiTre de pores sous la région inférieure des
cuisses, ni sur la marge antérieure du cloaque. Tous
ceux qui ont des doigts les ont lisses en dessous et
dépourvus de dentelures sur les bords, excepté seulement
chez l'unique espèce du genre Scinque proprement
dit.
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