TABLEAU SYNOPTIQUE DE LA SEPTIÈME FAMILLE DES SAURIENS.
L E S GHALCIDIENS OU GYGLOSAURES.
C a r a c t è r e s : p^ ^ t e , court
G I i Y P T O B E R I t t E S : à tubercules quadrilles : pattes
JVomhre
des
une paire antérieure, à doigls bien distincts.
j^percée de pores. . .
nulles lèvre du cloaque isolées : plaques sternales.
sans pores : dénis
avec un sillon : /épineuses
. distincts :i écailles de la q u e u e ! _
les antérieures
à cinq doigls : 1
mples, non epmeuses
hérissé de fortes épines
Uimplement écailleux.
/ deux paires, ¡
> nul s : sillon latéral !
( n u l .
\
à quatre doigts,
mais cinq aux pattes postérieures.
' l ainsi qu'aux postérieures
t r è s - c o u r t e s ,
Í en stylets
( t e r m i n é e s par un à quatre doigts peu
Vécailleuse : P T Y C H O P I . E D B B S : pattes ru d ime n t s des pattes postérieures.
nulles : corps tout à fait serpentiforme; mais des paupières : un tympan. .
Genres. espèces. PNG.
L ^ . Ch i r o t e . 1 47Î
l 5 . AmphisbÈne. 1 0
l 6 . Lk p i d o s t e r n e . 3 5o3
i 3 . Tr o g o n o p u i d e . I 4G,
I . ZoNURE. 5 3 4 4
3 . Ge r b h o s a u r e . 5 368
2. Tr i b o i - o n o t e . I 364
8. Pa n t o d a c t y l e . 1 428
5 . Ge r r h o n o t e . 8 3 9 4
g . Ec p l é o p e . I 3 3 4
1 I . HÉT É R O D A C T Ï I . E I 4 4 4
4 - Sa d r o p i i i d e . I ^387
1 0 . Ci i a m É s a d r b . I 441
12. ClIALClDE. 4 450
6 . VsEUDOPE. I 412
y . Op i i i s A u r e . I 421
T o t a l des espèces. , 45
( E n regard de la page 39.3.)
OU SAURIENS CYCMSAURES. 32 3
nous avons cru devoir ranger clans les deux sous-familles
des Ptychopleures ou Clialcidiens proprement dits, et
des Glyptodermes ou Ampliisbénés. Douze genres se
rapportent au premier groupe, et trois seulement au
second. Nous allons les indiquer seulement, puis nous
ferons placer en regard de cette page un tableau synoptique
qui facilitera leur classification.
Les PTYCHOPLEURES ont, comme nous l'avons di T, le
corps revêLu de véritables écailles , peu ou point entuilées
; et distribuées régulièrement en anneaux autour
du corps, qui se trouve ainsi comme cerclé , etle plus
souvent ils offrent un sillon ou enfoncement qui règne
dans toute la longueur du tronc, et qui sépare les
flancs de la région abdominale.
Un seul genre manque entièrement de pattes. Ce
serait un vrai Serpent s il n'avait des paupières, un
conduit auditif, les mâchoires soudées, la langue non
cngaînée. C'est le genre Opliisaure (1).
Celui des vient ensuite parce qu'il n'a,
pour ainsi dire, que les rudiments ou les indices de
l'existence d'une paire de pattes qui sont les postérieures
, avec le sillon latéral en longueur et le trou de
l'oreille du genre qui précède.
Tous les autres genres du même groupe ont deux
paires de pattes , ou du moics leurs rudiments. Dans
ce dernier cas sont les deux genres suivants :
Les Chalcides, dont les appendices an térieurs, qui
correspondent aux pattes de devant, se terminent par
troisou quatre tubercules écailleux, tandis que la paire
postérieure n est souvent représentée que par deux
( i ) Voyez , pour Î'étymologie de chacun des noms de genres , les art
i c l e s qui les concirneni.