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A ( 2 LÉ Z A R D S LACERTIENS OU AUTOSAURES.
Le Lézard vert piqueté. Cuv- Regn- anim. ( i» ë d i t ) torn. 2,
pag. 3i.
Lacerta (^Lacerta viridis, Daud.). Wagl- Syst. ampb. ,pag. i55.
Laceria viridis. Griff. Anim. Kingd. Cuv., torn. 9, pag- iiG.
€reen Lizard. Gray. Synops. Rept. in Griffitli's anim. Kingd. ,
tom. g, pag. 82.
Lacerta exigua. Eichw. Zoolog, special. Ross, et Polen, tom. 3,
pag- i88 (jeune).
Lacerta gracilis. Id. loe. cit. torn. 3, pag. 188 ( j e u n e ).
Lacerta strigata. Idem. loc. cit.,pag- 1B9.
Lacerta viridis.lííiéTíeií. Catalog, raisonn., pag. Gi.
Lacerta smaragdina. Schinz. Naturgescli. und Abbildung.
Rept. pag. 99, tab. 87, fig. 2.
Lacerta histriata. Idem. loc.cit. pag. loo , tab. 3;, fig. i.
Lacerta hilincata. Idem. loc. cit. pag. 100, tab. 38, tig. 4.
Lacerta viridis. Eversm. Nouv. mém. Societ. imper, natural.
Mose. tom. 3, pag. 889.
Lacerta sylvicola. Idem. loc. cit. pag. 344, tab. 3o, fig. 1.
Laceria viridis. Ch. Bonap. Faun. ¡tal.
Lacerta viridis. Wiegm. Herpet . mexic. pars 1, pag. 9.
Zacerí« c¡Wí/íV. Bib. et Bor. St-Vinc. Expe'd. scient. Mor. Rept.
pag. 66, tab. 10, fig. i, a, b, c, d de la troisième série.
Lacerta viridis. Jenyns. Man. brit. vertebr. Anim. pag. 292.
Lacerta viridis. Gerv. Ann. sc. natur. ( nouv. ser. ), tom. vi,
pag 309.
Laceria viridis. Tschudi Monog. Schweizerich. Echs. (Nouv.
me'm. Societ. helvet . Scienc. nat . tom. i, pag. 18.)
Lacerta viridis. Krynick. Observât. Rept. indig. Bullet. Societ.
imper. natur. Mose. (1807, III), pag. 47.
Lacerta viridis. Schinz. Faun, helvet. ( Nouv. me'm. Societ.
helv. Scienc-natur. tom. i , pag. 189. )
DESCRIPTION.
FORMES. L á t e t e a en longueur totale le double de sa hauteur,
laquelle est u n peu moindre que la largeur; le dessus , à partir
d u f ront , présente un plan faiblement incliné en avant. Le museau
est légèrement pointu et peu épais. Couchées le long d u cou,
les pattes antérieures atteignent la narine ; celles de derrière ,
lorsqu'on les por t e en avant , s'étendent en général jusqu' à l'aislelle
, mais quelquefois leur longueur égale seulement les quatre
cinquièmes de l'étendue des fiancg.
COELODONTES LÉIODACTYLES. G. LÉZARD. 6.
La queue, cyclotétragone à sa racine , conique et de plus en
plus effilée en s'éloignant d u t ronc , f a i t à elle seule les d eux tiers
de la longueur totale du corps.
11 y a une douzaine de petites dents coniques, simples, de
chaque coté d u palais. On compt e onze à treize dents iatermaxillaires,
une quarantaine de dents maxillaires supérieures , et quarante
huit à cinquant e maxillaires inférieures.
La plaque rostrale est ordinairement creusée d'un léger sillon
longitudinal ; l ' interpar iétal e est petite, un peu alongée , représentant
u n rhombe assez souvent tronqué en a r r ièr e ; l'occipitale,
quelquefois simplement l inéaire, a le plus ordinairement la forme
d ' u n triangle isocèle tronqué en avant ; chez les individus où
elle présente le plus grand développement, elle a presque autant
de largeur que la frontale. Il existe deux petites naso-frénales,
toutes deux de même étendue et à peu près carrées , elles sont
régulièrement placées l'une au-dessus de l'autre ; derrière ces
deux plaques est une post-naso-frénale verticale , rectangulaire.
La fréno-oculaire est g r ande , subquadrangulai r e et ondulée à son
bord postérieur.
L'oreille et les paupières ressemblent à celles du Lézard des
souches.
Deux grandes plaques oblongues, subquadrilatères , sont appliquées
, l 'une à la suite de l'autre, contre le bord supérieur de la
tempe , laquelle est revêtue de squames plates, unies, d'inégale
grandeur, à plusieurs pans inéquilatéraux et parmi ces squames
o n en remarque presque toujours u n e centrale, u n peu plus développée
que les autres. Chez certains individus , ces squames sont
plus petites que chez d'autres ; aussi tantôt on en compte une
quinzaine seulement , tantôt vingt et quelquefois plus.
Des granules ovales, en dos d'âne, garnissent le dessus d u cou
et le commencement du dos, sur lequel on les voit peu à peu, en
s'avançant vers la queue , prendr e une forme plus distinctement
hexagone ; les côtés d u tronc en offrent qui sont ovales, im peu
moins épais, mais n é a nmo i n s toujours légèrement renflés longitud
i n a l e m e n t , excepté aux trois ou quatre séries qui avoisinent les
plaques Tentrales ; car ils sont là tout à fait aplatis et un peu
plus dilatés. On peut compter une cinquantaine de ces écailles
granuleuses dans une rangée transversale observée vers le milieu
d u tronc , depuis le bord de l'un des flancs jusqu' à l'autre ; elles
sont certainement plus petites que celles d u Lézard des souches.
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