rouge o
manque,
ócort-hót
boutons
bien à r<
iorsqu'o,
absohini
ainsi dir
ínHam
, l'ípid
r la
eàlr.
i pa
Le tissesl
SOI
I lie i'ii
•i rencl<
clans ui
(le.
narquer q
applique
,.t analog,
iiprégnc dans IM
A L A D I E S
allulaire se tnmcfic
it (luv et raboleux,¡du darlrc
qu
•ontinucll
ne telle circonsUm
itoires sur les bn
j u ' o n observe sur
lté sa masse par l(
D E LA PEAU,
à un point extrême. Dans les endi
i.
On y apperçoit de petites écailles; i
se gratte avec force, la chair vive suint
n pus ichoreux et qu<-l(pierois purul
la peau a une telle disposition à produir
1 ailleurs, on y provoque le développe
d'à 1res pari
is lierpétique.
corps, tant le système c
Lorsque les croûtes toinbenl d'elles-iiiêiiies ou par l'efrcl des topiques
que je l'ai déjà di t , des eruùtes nouvelles qui reviennent à chaque insL
flatniuation dimiiuie. Enlin, elles cessenl de paroitre quand Tirritatii
Quelquefois pourtant elles restent adhérentes à la peau pendant nn V
qu'une cause organique fomente ou entretient leur production. C'est a:
séjounié près d'un au sur les jambes d'un malheureux vieillard scorl
âpres au toucher, ayant presque l'apparence des pierres noircies par la
>duiL communément de très-vives demande
les ( nùtes
niais dans les parties
te et odVe des petits
t. Au surplus, il est
ire des croiUes, que
d' l ne Da r t r e
xcle est,
ens Ht le
L a Dartre crustacée p
sont comme brûlantes dans la variété que je désigi
iaceus Jlavescens). Elles ont un grand rapport ;
i principalement q
n lu
:mps
nsi q
utiqi
mesu
epajs
•pétiquc est toialenic
irès-considérable, su
e j'ai vu des eroùLe..
toienL bosse
elles
eéder, ainsi
•e que l'inol
anennlie.
•-tout lorsqui
avoient
écs, dures,
etuste.
l'iîrysip. . Elles <
dépouillée de son épid(
eoinnie dans les Darlre
heure lixe, étoit en bu
extrême, et en quciqui
la Dartre erustaeée, qi
sous le titre îyHerpes
vivent sur IVeoree des
do prurit. 0,
La Dartre
cnistaccus fli
lualaire. Elle
boueh
,lu rachitiq
ut des mani
voir la Dartr
,tend
. Dai
de la
1 peut ,
crusta
les Di
sqnammeuses. J'ai donné
c aux assauts du prurit li
minutes tous ses inembrt
ne suscitent point de p;
mstaceus
rbres. Les
Iter les del
t occupe]
ions sur la peau. Ces démangeaisons
sous le nom de Dartre crustacée llavcscente ( Herpes eraste.
les cuissons et cette sorte de tension que lait éprouver
d les croiUes sont tombées, et que la partie aiTectée se trouve
roiUeuscs qui ont vieilli, les démangeaisons arrivent par ai
mes soins à un homme de lettres qui, tous les soirs et à
jilus extraordinaire : alors il se grattoit avec une viole
; se trouvoient ensanglantés. Il est néanmoins des variété! de
qn
illes souffrances ; telle est, par exemple,
de son
iiirectés
cite à
extrême ressemblance ;
se plaiguoient à peine d'
ce sujet.
eelle qu<
vee les i
me légè
i décrit,
isses qu
ensatioi
r i e
Nous l'i
-le. l\ou!
elles des
. la ,
r i e col.
i b n
Les
lelqu,
s sais
o i s , lor,
, et touj
1 groupe
svstème der
il,'eu des joue
nissure des l
le Iront, et mèm
)ïde. La crusl
et envahit qi
res, et forme
me sur le eu
• des ailes du
;e laiteuse. Et
forme de stalactite à l'une c
ise en jeu par une métastase
; toute la surface du corps ;
ipaules, le long des reins,
.^rustacée, éprouvent des ré(
années, chez le même sujet
:ée flav
•Iquefoi
chevelu, chez un indilez.
Elle se place sur le
n , il est assez ordinaire
les cuisses, les jambes,
> antérieure du ventre.
enveloppe]
t à la partie an
dives très-fiVxi
cette alTectioi
dq
flanii
u n fl
veuoient encore si
Boit. Une pauvre
Saint-Louis; elles
Il est une foule d'i
maladie. La peau
les plus
LaDi
lui
prati
Un }
atte
tu ti
de
idividus
. observations que je
iliOerens sièges sur le
se place presque toujoi
.quoique rarement, jusq
vons vue se montrer
l'avons vue pendante e
femmes, quand elle est i
itacée éclater sur presqi
larges plaques sur les
idividus qui sont atteints de la Dartre
de l'observer, pendant le cours de deux
scente (Herpes
toute la région
c circulaire autour
?ntes. J'ai eu occadispan
isoit poi
vellemei
K^u'on la conibattoit par L
s moyens ordinaires; mais elle se remontroit
[iurs de la manière que j'a
i déjà exposée : on voyoit d'abord naître sur h
peau roii
Ige et endécouloit
de petites pustules, accon
ipagnées d'un léger prurit. De chacune de ccf
pustules
flavescent, qui se concrèti
i l , et se changeoit en croûtes cristallines. Enii
1, d'aulre;
éunir aux premières qui s
étoient formées, et c'est ainsi que la Darlre s'élendoit et se
i-uitière avoit été parfaitement guéj
tit, et subit une rechute pour s'être exposée, pendant une heure, à l'action d'un soleil ardent,
lividus qui tous les ans arrivent à l'hôpital Saint -Louis, pour s'y faire traiter de cette même
entracte, pour ainsi dire, l'habitude de ce mode d'éruption, et on a besoin des précautions
5 pustules
les soins que nous lui avions ])rodigués à l'Ii
ttentives pour la maintenir dans l'état sain.
•tre crustacée n'est point d'un caractère très-opiniâtre; mais elle résiste long-temps aux remèd
)ppose, quand elle est compliquée et fomentée par la diathèse scrophuleuse ou scorbutique. Il est a
mélanges de symptômes qui app;
forti-
.pital
nent à diverses affections, sont bic
nen exercé; mais souvent combien sont infructueuses les te
ildat de la garde de Paris avoit éprouvé les écrouelles dans s
Dartre cruslacée, et nous ob.servàmes que cette érupti«
idis qu'elle disparoissoit assez vite chez d'autres milita
le cite que cet extimple, et j'en pourrois alléguer une
lent énervés par le scorbut, cons
i « que le tempérament et l'ydiosy:
expression ingénieuse de Bordeu, c
r la forme et l'intensité de nos affections morbiliques.
itatives au5
nfai
n t d e la
itifs, ta
m. Je 1
ioir de¡
íes enti,
it per
íUt SI
tot reconnus par l<
1 se livre pour
de vingt-huit
>ment re])elle í
:quelleí
A l'âg.
ordinai
qu'on
ai que
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y eu M
les g,
étoient doués d'i
«lade
Tai
dica!
nt il est vrai « i
servir de l'expi
et l'intensité de
foule : d'autres. [1
server des restes di
ie .sont le vrai
cl que l'état des for
l'est Iré
lette Dl
meilleu:
[uemnu'
rtre ])cn dant de.
champ des maladies», s'il
•es vitales indue coutinuel-
M A L D I IÍ S DE LA PEAU.
Observations relatives à La Dartre crustacée.
CLXXXIV. Première Observation. - La nommée Hélène Thomas, née à Versaill
filature de coton, entra à l'hôpital Saint-Louis, pour s'y faire traiter d'une Dar t r e criista
crusùcKeus Jlavescens). Celte lille étoit douée d'un tempérament lymphatique, ses chevei
chatains, sa peau étoit très-pàle, et sa figure étoit bouffie, &e. Elle accoucha sans aui
ordinaire de la grossesse. Lorsqu'elle fut entièrement l établie de ses couches il lui vint
racine du nez et sous le menton , plusieurs petits boutons vésieuleux, qui se réunirent c
large plaque. De ces boutons exsudoit un fluide blanchâtre qui, en s'épaississant, preno
citrin. La concrétion de ce même (luide dounoit lieu à la formation d'une cro
assez analogue, par son aspect, aux sucs propres qui sortent de l'écoree de ecrt
en couvrent la surface. Ces plaques croùteuscsqui eouvroient les joues, étoien
vives et comme brillantes. Elks étoient environnées d'une aréole rouge, absolu
pèle. La maladie céda bientôt à la vapeur émolliente de l'eau de guimauve
tièdes. Cette femme éprouvoit pour la troisième fois une semblable éruption. J
étoit fort sujette aux récidives.
et employée à une
iistacée naveseente [Ilerpes
eveiix et ses sourcils étoient
aucun accident, au ternie
int sur la joue droite . h la
nt ensuite pour former une
•enoit la couleur il'un jaune
i étoit d'un jaune verdàtre,
• i |"
ns arbres, (|ui s'y condensent et
iceompagnées de démangeaisons
eut semblable à celle de l'Erysict
à l'usage ciuuinué des bains
déjà dit que la Dartre crustacée
Deuxième Observation
- Il est irquable
a Dar t r e crustacée flavesee
une exposition plus ou moins prolongée prolongée au au sole
soleil
1 à d'autres
prouve ; Kose-Angélique Dani
âgée de vingt-trc
i , cuisinièr. ! à Pa
h ô p i t a l , pour s'y faire traiter
il'tine éruption de
; gen
r. qui lui
lille étoit d'une constitution forte et vigoureuse ; elli
it les che
Habituellement exposée au feu des fourneaux, il I
i sur
des
bientôt il se manifesta de très-petits boutons dans plusi
fournirent un fluide plus ou moins abondant, ,
Ces croûtes ressembloient à des fragmens d'un
coup d'arbres. Lorsque ces croi'ites tomboient, il s'en formoit de nouvelles, qui étoient semblables en t,
aux precedentes. La peau qui les supportoit étoit d'un rouge très-enflammé. La malade éprouvoit un
'ent après
luivant le
notre
Cette
, la pea
it à son visage qu'elle ne pouvoit gofiter un seul instant de sommeil. Elle guérit promptement par
- 'I" ^ l ' lopi 'ol Sainl-L,ouis. Des bains émolliens, un régime doux, suffirent pour la délivrer
•ette éruption.
•vient s(
excitantes. L'exempl
i s , sollicita son entrée da
survenue depuis trois joui
;t les sourcils noirf
ingeaisons générale,
isieurs endroits de la face. Ces boutons réu
s'épaissit et se changea en croiîtcs d'un ja
•1 desséché, ou aux sucs gommeux que fi
'en formoit de nouvelles, qui étoi
ir
particul,
isent be
P
tel
de
- C h a
nt pr
•lotte May
l a r d ,
=lque
: à la
leur
ie qu
fixci
•c chi
ärd.
Troisième Observation. — Jeann,
sur les boulevards du Temple, s'éti
tacéc, dont les caractères étoient le,
s'annonça d'abord par un petit point rouge, a
croûte épaisse, d'un jaune brillant nuancé de
meux devenu concret. Cette croûte laissoit suinter pa
soir au lendemain. Entrée à l'hôpital Saint-Louis, la
et à des fumigations émollientes. Cette éruption, qui s'
étonnante rapidité. On vit s'opérer pendant quelques joi
entièrement, sans qu'on observât la moindre
plus souvent après de telles affections.
âgée de dix-huit an,
temps au soleil, fut
face, et dans le mili,
,t grande démangeaisc
ulei
, marchai
itteinte d'i
:u de l'un.
La pe
et par sa foi
nprcssion
i t a n t , par' sa ec
dessous une humeur ich
lalade fut soumise à un traiten
toit considérablement étendue
•s une légère desquamniation fu
ou tache sensible sur la peau,
ide de bouq
me Dartre crus
1 des joues, eli,
1 se couvrit d'un,
e
•ts
qui ipaissi.ssoit du
it antiphlogistiqne,
se dissipa avec une
-furacée, qui disparut
comme cela arrive le
Quatrième Observation. — M. T . . . , homme de lettres
gnin, né de parens sains, avoit passé une jeunesse extrême
de l'étude prolongée des sciences abstraites et des femmes
l'âge de quarante-deux ans. A cette époque, il lui survi
cuisses. Cette éruption étoit accompagnée de vives déinan;
lomboient laeilemcut lorsqu'il prenoit des bains. L'usage
entièrement. Durant le cours de i8o4, au mois de février
talons. Peu après, il 1
survint une érupti
cuisses. Il se déclara di
démangeaisons qui
présentoit alors
les caractères que je vais es
pressées les nue
I à côté des autres, et préseutoient niu
grattant. La pc
u dénuée de ces croûtes, étoit altérée d,
tomboient et étoier
ient remplacées par des croûtes nouvelle
les extrémités inféi
D'à leurs JM. T.
âgé de cinquante-six ans, d'un tempérament sanlent
orageuse, tour-à-tour livré aux excès énervans
il avoit cependant joui d'une bonne santé jusqu'à
la partie postérieure des deux
nposoit de croûtes grisâtres, qui
ons amers parvint à la dissiper
rticulier aux ])ieds et aux
ment aux jambes et aux
,voit adoucir. La Dartre
u r grisâtre ; elles étoient
naïade les enlevoit en se
ture. Bientôt ces croûtes
it presque continuel dans
t assez bien ses fonctions.
pend,
:U une éruption
;eaisons; elle se c
de quelques bouillons an
, il éprouva un prurit p{
on croùteuse, qui s'étendit progressiv
veuoient par crises, et que rien ne po
poser : les croûtes étoient d'une coul
forme bosselée lorsque le
ns sa couleur et dans sa te
; on observoit un suintemc
lit beaucoup d'appétit, et remplisso
Cinquième Observalioji. — Ro
aractérisée par la prédominance i
; Felis , âgée de v.
)it éprouvé
:igt-qu
[a Tei,
a n s , d'une constitution lymphatiqu
et la Darli e furfuracée dans son enfa
et
: E