¡nlci icurc oíTroil l'aspccl d'
vériqae. Voici cc que nous avon
scropliulcusc. Maigreur de tout 1(
suivoit Ic bord antérieur du mus
M A L A D I E S DE LA PEAU,
larbrc jaspé. Il y avoit des points slcalomateux
îs observé dans le caduvrc d'Agatl:
•ps; peau daus l'étal
leruo-clcïdo-masloïd:
afTcctc do earie, d'où il cHoit so
et cromine lardacc. Le luassetei
hlanelie et pour ainsi dire hoi
Cinquième autopsie cadavériqi
générée en canecr, dont j'ai de
•li plu,
de ce
Quatrième autopsie cacia-
Micoult, morte à la suite d'une maladie
•dinaire. Fistule au côté droit du col, dont le trajet
et aboutissoit à l'angle de la mâchoire , qui étoit
esquilles. Tissu
còte etoit pâle
musculaire du côté droit de la jou
et les glandes cervicales réduites Mi 1
epan
iubslan
remt
tube:
qu'oi
et m
norme tu
ngène. Foie très-volumineux. Tous les autres orgau
. Nous avons explore avec beaucoup d'attcjilion une
i donne le dessin dans cet ouvrage. {Vojez la Planch
itoit d'une couleur bleuâtre-violacée. Elle étoit reco
dans l'état ordinaire. -
.phuleuse dé
extérieu
it, cette
iules ou tumeurs particulières plus ou moins o'
aie;
pouvoit aisément séparer par le scalpel. Quelques-unes
ressemblaient pas mal, pour la forme, à des pomme
u globule
de ces tui
s de terre
up plus c
devenoie
ce lardaci
IX. La gla
celte aggregation de tumeurs diverses, une tumeur beaucc
sa surface. Il paroît que c'est en croissant que ces mamelon}
de scalpel dans cette masse tuberculeuse fit voir une substan
pèchoit pas le sang de couler par une multitude de vaissea
Elle avoit doublé de volume. L'intérieur de la boucli
roissoit dans cetle masse dégénérée. L'agonie de cette fcmir
sa moi't. — Sixième autopsie cadavérique. Une femme d'u
trente ans, un gouflement de l'avant-bras. Tout annonçoil
mèrent, et laissèrent échapper un pus Jaunâtre et ichoreux
ntiguc
e to
On .
)nsidé
at de
tu m e
• X L V n i . ) Vi
iverte d'ui
les unes a
;traordina
)bscrvoit à
•able que l
parti
utn
iiiltitude de
lutres, mais
tent petites,
péncuro de
Lincloimcc ù
lablcs lumcurs. Ui crand coup
uonneiisc. Celle consislaiicc n'c
•Glide avoil la durelé du eavlila.
itoil ulcéré et mamelonué. L'arcade deulaire dispaime
fui longue. Uu long aCTaissemciil avoil précédé
nslilulion scrophuleuse éprouva, ci Tàge de
ilgorgemenl scropliulciix. Des abcès se forlite
la lunieur demeura slalionuaire. A Tàge
de quarante ans elle mourut accidentellement d'une lièvre adjnaniiqiic. La dissection de l'avanl-bras se ill
soin. La peau , quoique d'une épaisseur considérable, résisloit peu à la lame du scalpel. Le lissu ccllulaire du
membre éloil Lrès-aboudant, et contcnoil beaucoup de graisse. Les vaisseaux et les nerfs qui se dislribnoient
à ces parties, éloicnt d'une grosseur proporlionnelle. Tout annonçoit les traces d'un eugorgemenl lymphatique,
qui cxhaloit une odeur semblable à celle de la viande bouillie. — Septième autopsie cadavéï-ique. MarioLouise
Hoben,
de trente-neuf
j'ai fait dessine
Enlî.l
sur 1,1
depui
éloil
rouge brun-vi(
en haut et en
(le dégénércsci
reste de la lu
nucluali
rente. Il
icq •
i présente
ne tu
Celle lutui
ilcrable, el
•tendoit depuis l'arcad
elqu
. elle a
branche de 1;
5 l'oreille jusq
i peu près coniqi
mâchoire. Elli
au milieu d,
la joue. Cette tumeur avoit le volume d
eloit pa
la base qu'elle appuyoit sur la milehoire. Sa surfi
lequel on l'examinoit. Elle prcsentoit en quelque
)lel, suivant l'endroit d,
dedans, des petits tubercules du
?nee de l'épiderme. La base éloil dure
a tumeur offroit une mollesse d'autant pl
a, qu'on se rapproclioit davantage du somi
'écliappoit de la surface de la tumeur, p;
'étoit formée lenteuî
i quels éloient ses cai
zigomatiqu
!llo portoli à la
it et sans faire í
ctèrcs : La tumeur
jusqu'à la base d
face depuis vingt
auffrir la malade,
lur avoit son siège
e os, et
très-grosse poire. Sa forme
t bosselée, d'un
ts, mais surtout
ne carrés par leur cc
voit la consistance d
rande et d'autant plus ressemblante
t leur couleur,
•gemens scrnphulei
let. Elle étoit mobile. Sa ba;
ne sorte de transsudat
ispece
X. Le
itable
idhedoré,
et dont l'àcreté avoi
ce liquide s'écouloit plus
leur grisâtre et blafarde
et plus abondantes. Voul;
enflammé les tégumens. 11 s'étoit formé des ulcératioi
ibondainment, mêlé parfois d'une ])etite quantité de
augmenloient d'étendue, et eu même temps ces liéi
nt m'assurer de la nature de la tumeur et la croyant en
sortir que du sang. La surface des deux 1
sant l'extrémité du petit doigt, on n'epro
a propre substance de la tumeur. Dès lor
lancette. Mais au lieu de pus, je ne v
et d'apparence lardacée. En y introd
auroit pu facilement l'enfoncer dans
qu'on jugeoit être de celles des fongus hoemalodes. Dans cet état d
L'appétit étoit perdu, la bouche étoit amère, la langue étoit recouverte d'un (
s'étoit long-temps plainte d'un sentiment d'inquiétude à la région épigastriqi
'S plus de doute sur sa nature,
survint un embarras gastrique,
duit jaune el épais. La malade
. Mais bientôt il se déclara un
choses il s
le ne paroissoil point î
e rosée ichoreuse d'un jaune
iuperlicielles, par lesquelles
ng. Ces ulcérations de coui
rhagics devenoient passives
ppuration, j'y plongeai une
es étoit d'un blanc grisâtre
oit aucune résistance, et ou
! lequel on employa vainement toutes sortes de jnoyens convenabL
ientôt dans l'impossibilité de garder le lit. Les petites ulcérations de
devoiement,
peu à peu, et fut bi
se confondirent en
grise, blafarde, fo
Jiemorrhagies passi
plus grande. Cepe
ioniques, les cord
quelques jours les
dents, les gencives et la li
ventre se météorisa. La n
altération dans les os. Ci
î seule, et son aspect changea de nature. On ne vit plus alors qu'
use, à bords durs et renversés, et qui avoit vraiment l'apparence d
ent de plus en plus fréquentes, les douleurs vives et plus
irrhée fut bientôt colliquative. La malade s'arTniblissoit c
îmployes pour relever les forces, et n'eurent d'autre effet
niques qui se prononcèrent. La prostration des Ibrce
vrirentd'un enduit fuligineux; le poul,
î mourut. La peau seule et le tissu ccllulaire éloient m
:éda à l'ouverture du corps, qui étoit devenu d'une nu
deveno
ml la di
Í furent
pl.
ncéphalique n'avoit rien de
remarquable à l'observation ; mais la poitrine olfroil de
poumons étoient remplis de tubercules purulens. Les glandes du médiaslin éloient dur.
es. La malade s'affoiblit
la surface de la tumour
large ulcération,
cl.ampignon. Les
trochées, la gêne
les adyn
igue
proci
nsidér
lie de
nt petit, foil
malades. Il t
maigreur exi
laltératio
iblenu
retard.
m. Le,,
r pour
le : les
ère; le
iiblci
squirriicuses el presqu
M A L A D I E S DE LA l'EAU. ,
aussi volumineuses que des oeufs de pigeon. Le même phénomène alTccloil les ganglions méscntéi
Tenure oesophagienne de l'estomac éloil pour ainsi dire obturée par un cpaississemcnt prodigieux
branc mterne. Le foie et la rate avoient pris un grand accroissement et avoienl dégénéré de leur lis
L'infection scrophuleuse avoit envahi toutes les parties du corps. N'oublions pas de dire que tn
osseux, particulièrement les côtes, éloient d'une friabilité singulière. - Huitième autopsie eadavôrique No„,
avons disséqué une tumeur qu'avoil portée long-temps le nommé Frimont, couvreur de son métier. Celle tumeur
existoit depuis vingt ans, lorsqu'il vint mourir d'une autre maladie ù l'hôpital Saiul-Louis. Elle étoit circonscrite,
et avoit son siège sur la rotule. Elle n'avoit aucune adhérence avec le ligameul de cet os. Elle éloil
assez mobile, el se porloit tantôt d'un côté, tantôt de l'autre, suivant que l'individu s'appuyoit sur la partie
interne ou sur la partie externe de l'articulation. La matière contenue dans cette espèce do kisle avoit une eonsislanee
semblable à celle du suif. On assure que le malade avoit eu d'autres tumeurs de <
avoient été pareillement ouvertes par le bistouri.
. 4 R T I C L E VII.
Considérations générales sur le traitement des Scrophules.
•iqucs. L'ou
de sa mem
su ordinaire
ul le system
, et qu'elle:
DCCLXXm. Plusi.
lonsidérations g
meilleur mode de Ira
•ement qu
mvient
linctes aux yeux d'un
obsérvate
exercé,
la sensibilité pour les faire arriver à ni
dans les abcès scrophuleux que dans li
el par une succession d'actes souvent interrompi
valles, cl il est des cas néanmoins où elle se nio
léralcs se présentent à l'esprit lorsqu'il s'agit de déterminer le
IX maladies scrophuleuses. Ces maladies ont trois époques disl
il importe de mesurer en quelque sorte l'échello que parcourt
maturation complète. Personne n'ignore que la nature est plus lente
phlegmons ordinaires; qu'elle y marche en quelque sorte par sauts
Il est rare que ses efforts se soutiennent. Elle s'abat par inlcr-
•e énergique et puissaule.
DCCLXXIV. Pour établir un tr¡
particulier des symptômes qui siguí
aride et brûlante, s'il y a dans le p
sédimenteuses, si la susceptibilité nerv
citation dans toutes les facultés vitales
apaiser cet orgasme général. Dans un
guil, lorsque de l'inertie des solides dé
trices informes, etc., c'est l'occasion d
itcment
lent la pi
ageetbi
eniicrc i
Is une plénitude
veuse des entraille;
ou a de suite r
circonstance absolument contra
vent des résolutions incomplètes
mettre en oeuvre les ressources sa
perturbatrice. Ici surtout la doctrine de l'expcctatioi
aisonné, nul doute qu'il ne faille avoir éj
ion de la maladie scrophuleuse. Si la pe
narquable, si les urines sont rouges, lia
;st manifestement exaltée, si l'on observe
rard au génie
m est sèche,
u boyantes et
un élatd'ex-
' qui doivent
rs à tous les moyens de thérapeutiqui
e , lorsque l'action niédicatrice la
des suppurations inaclives, des cicas
nombre que peut offrir la uiétliode
seroil e aucun admissible.
DCCLXXV. Un des secrets les plus imporlaus de la thérapeutique, pour la gucrison des maladies chroiques,
est d'appeler sur le système affecté les secours lutélaircs des autres systèmes. La réaction la plus utile dans
est ccllc qui provient de la synergie de tous les organes. Afin d'cffcctucr ecltc réaction, l'art
jeu les excitations artificielles qui sont en sou pouvoir. Les voyages, les distractions, les
italion , le changement d'air el de nourriture, etc., contribuent eflîcacemcnt k
s les genres ont une puissance qu'on ne sauroit contester, quand elles sont proiglois
qui fout toucher à leurs malades le corps glacé des pendus, comptent
de la .surprise ou de la terreur. Lorsque le sens de l'amour s'c
icore. Cette passion exhalante provoque dans tous les organes un
c sorte de tumulte qui accélère le cours de la lymphe, el qui (
J'en ai vu uu exemple frappant chez une jeune demoiselle écro
'oit inutilement administré beaucoup de remèdes. La plus élon
née pour u
pliquent p
l'économie animali
prescrit de metti
exercices de la danse ou de f
ce but. Les passions même de tou;
voquées à l'improvistc; cl les Ai
sans doute sur les effets salutaire;
résulte un effet plus avantageux i
fébrile, ou, pour mieux dire,u
rable au dégorgement des glande
puis l'enfance, et à laquelle on i
morphorse se manifesta dans son
souvent sous les fenêtres d'une n
lysiquc dès qu'elle se fut cullai
où elle éloil élevée. Ces faits s
iveille
mouvement
?sl Irès^favoluelleuse
denauto
méta-
1 jeune homme qui passoit
ir la physiologie des dges.
n C C L X X V I . Au
indispensable dans 1,
Irailemcns doivent être
daus les temps les plus fi:
•ph s, je répète ce que j
liim des maladies cli
général continués pi
rabies à leur réussit
volutions d'un iige critique ou l'arrivée d'u
ul iufructueux el tournent parfois au détri
d'aut
ilièrei ut d.
ti déjà énoncé dai
oniques, et parti
iidanl plusieurs année
. Pour les mettre en p
Si l'on
ages. Le temps est un élémeni
s maladies scrophuleuses. Le:
iporle, eu outr
e saison chaude,
leiit des malade
. Il il
atique, on m'a vu s
léglige celle condilii
, do les pratiquer
ivenl attendre les
, les essais de l'art
¿I 'Il
t.'
H
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I