
ronde ; il y en a depuis quatre ou dcei npqlu sju gfrqaun’dàs h&u idte o pul udsi xp eptiietds s, qduei dfioanmt èàtr ed e; uxi l osu’ entr oitrso éutvaeg esa uf: li leqsu emlquuraeifloleiss oélnetv éjuefsq uà’ àp lodmeubx fupri eldes pdi’léoptiasi ffpeluerin j qeullie fse rfto ennt mmaêimfoen-.tems de fondement & de plancher à la
ficeU &ne lvuoi ûfteer t end ea ncfqe udvee rpt a; niile er f,t mtearmçoinnneé l ’aévdeic
fdoeldidanitsé :& il eenftd uimit paévneéct rapbrolep ràe lt’ée aeun ddeehs oprlsu i&es e&n reénf ifftoen ta urxe vvêetnutess leds’ upnleu s eifmpèpcéet udeue x f;t ucle sf ip abrioeins gqâuceh él a &m afini pdreo plr’hemomenmt e apyp laiiqtu ép ,a fqieu ,’i l afuefmli bllea cqeu emueo rletiuerr fqeur’ti-lesl lge âcdhee nttr uaevlleec , lepuorusr paipedpsli.q uIelsr mboeistt e, ndt ees np ioeerurevsr e& d difefsé retnèrtsre sm aftaébrlioanuexu f,e s qdeusi lnees bfoonist qpuo’iinlst efumjeptltoeise nàt ffeo ndt éplaryeefqr upea rt olu’esa ulé ;
, gers & tendres.
boiLse st encadfrtoer,s à plraé fpèlruepnat rtl ’édceos racleim fernasî cohred i,n a&ir esle; ils en font une ample provifion pour fe nourrir
aebnidtaantito ln’hs iqvue’ri.l s Cét’aebflti fdla'ennst ll’eeuaru m, &ag apzrièns. dCeh laequures hcaabbaitnaen sa qleu if iteonu s, pyr oopnotr tuionn ndér oaiut ncoommbmreu nd e, f&es
bnoe uvrgoandt esja mcoamis ppoifléleers ledue rsv ivnogitf ionus. dOe nv ian gvtu-c idneqs ccaebttaen eesfp :è ccee sd eg rraénpdusb léiqtaubel iefffte omrdeninsa firoenmt ernatr meso, in&s nqoume bdree udfeix; edlloeu zne’e fttr ilbeu sp ludso nfot ucvheanct ucnoem ap offoéne qiius anreti efro, uffofrne nmt apgaasf inq u,e fdoens héatbraitnagtieorns vféiepnanréeen t5 s’établir dans leurs enceintes.
quaLterse ,p lfuixs &pe lteitse sp lcuasb agnraens decso ndtiixen-hnuenitt, vdeinugx t,,
téocu mjoêumrse ,e nd int -oomnb,r jeu fpqaui’rà, atruetnantet dcaef tfoerms ,e lpleresf qquuee odne mpeâulet s.d iArei nqfiu ee nle ucor mfopctiaéntét, emftê mfoeu vaeun tr acboamis-, pafoffoeceie sd eq ucie ntot ucs inoqnuta ntrtaev aoiull éd edu’xa bcoernds eonu vcroireorss
ppaoru rc oémlepvaegrn liee gproanudr oéudvifriaegr e depsu bhlaicb i,t a&tio nens fupiatre
ticulières.
s’yQ muealiqnutiee nnot mfabnrse uafleté qruateifooni t; c elett etr faovcaiiél téco, mla mpauinx ap rroecffuerréreés l,e ul’ra ubnoinodna,n lcees dceosm vmivordeist éqsu q’iuls’ ilasm fea ffl’oenntt D&e sc oanpfpoémtimts enmt oednéfreéms b, led efse rvgoenûtt sà Alm’epnlterse t,e nidre. l’avernon pour la chair & le fang , leur ôtent
jufqu’à l’idée de rapine 8c de guerre > ils jouiffènt
de tous les biens que l’homme ne fait que defirer?
Amis entr’ eu x , s’ils ont quelques ennemis au dehors
, ils favent les éviter, ils s’avertiffent en frappant
avec leur queue fur l’eau un coup qui retentit
au loin dans toutes les voûtes des habitations.
Chacun prend le parti, ou de plonger dans le
lac , ou de fe retirer dans leurs murs qui ne
craignent que le feu du ciel, ou le fer de l ’homme,
& qu’aucun animal n’ofe entreprendre d’ouvrir ou
de renverfer.
Ces afyles font non-feulement très-fûrs, mais
encore très-propres 8c très-commodes. Le plancher
eft jonché de verdure ; des rameaux de buis &
de fapin leur fervent de tapis , fur lequel ils ne
font ni ne fouffrent jamais aucune ordure : la
fenêtre qui regarde fur l’ eau , leur fert de balcon
pour fe tenir au frais, & prendre le bain pendant
la plus grande partie du jour.
L ’habitude qu’ils ont détenir continuellement
la queue & toutes les parties poftérieures dans
l’eau , paroît avoir changé la nature de leur
chair ; celles des parties antérieures jufqu’aux
reins, a la qualité , le g o û t, la confifiance delà
chair des animaux de la terre & de l’air ; celle des
cuiffes & de la queue a l’ odeur, la faveur & toutes
les qualités de celle du poiffon. Cette queue longue
d’ un pied , épaiffe d’ un pouce, 8c large de cinq
ou fix , eft même une extrémité, une vraie portion
de poiffon attachée au corps d’un quadrupède
; elle eft entièrement recouverte d’éeailies,
& d’une peau toute femblable à celle des gros
poiffons.
Les cafiors font leur provifion d’écorce 8c de
bois dans le mois de feptembre, enfuite ils jouif-
fent de leurs travaux, ils goûtent les douceurs
domeftiques - : c’ eft le temps du repos j c’eft
mieux, c’ eft: la faifon des amours. Se connoiffant,
prévenu l’un pour l’autre par habitude , parlesplai
firs 8c les peines d’ un travail- commun, chaque couple
ne fe forme point au hazard, ne fe joint pas par
pure néceffité de nature,mais il s’ unit par choix ,
8c s affortit par goût.
U A tant de traits dont on ne peut contefter la
réalité, des hommes à imagination en ont ajoutés
que la philofophie met au rang des fables. Des
voyageurs ont dit que la fociété des Cafiors étant
une fois établie , ils réduifoien.t en efçlavage les
étrangers j qu’ ils renverfoient leurs pàreffeux 8c
leurs vieillards fur le dos, & les faifoient fervir
de voiture pour charrier leurs matériaux ; qu’ils
ne s’affembloient jamais qu’en nombre impair ;
pour que dans leurs confeils il y eût toujours
une voix prépondérante ; que la fociété entière
avqit un préfident ; & chaque tribu un intendant ;
qu’ ils avoient des fentinelles établies pour la garde
publique, & c . Mais le roman des voyageurs n’a
point nui à l’hiftoire des Cafiors.
Ce qui augmente notre étonnement par rapport
à l'înduftrie de ce fingulier quadrupède 3 c*eft qu’ il
ne Congé point à en faire ufage 3 s’ il ne jouit de fa
liberté. Il y a des Cafiors en Languedoc, & dans
le Nord de l’Europe ; mais comme toutes ces contrées
font habitées3 ou du moins fréquentées par
des hommes ; Ces animaux y vivent fohtaires &
fugitifs, & portent fur leurs corps l’empreinte de
l ’efclavage.
Le Cafior parmi nous eft peut-être un animal
dénaturé : il paroît tranquille, familier, exempt
de paffions violences, rongeant de tems en
tems les portes de fa prifon , mais fans fureur,
indifférent en tout , & ne cherchant pas à plaire,
encore moins à nuire.
Cet animal eft très-utile : fa peau fert à faire
des fourrures : les médecins font ufage de la
liqueur du Caftoreum qui eft renfermé dans deux
véficuies qu’il a fous le ventre : les fauvages
tirent de fa queue une huile qui leur fert de
topique , pour divers maux ; & fa chair n’ eft
point indifférente en qualité d’aliment.
Les romains n’ ont prefque pas connu le Cafior,
parce qu’ils n’ont jamais porté leurs conquêtes
en Amérique 8c au Nord de l’Europe.
Chafie du Cafior.
C ’ eft dans l’hiver qu’on doit aller à la ehafle
du Cafior, parce que dans une autre faifon, on
ne tireroit pas un fi bon parti de fa fourure.
Il y a plufieurs manières de les tuer; quand
.3g s’écartent dans les terres, on peut les faire
pourfuivre par des chiens & les forcer ; on a
d it, mais fans doute fans fondement, que lorf-
qu’ils fe voyoient fur le point d’ être pris, ils
s’arrachoient leurs tefticules où le caftoreum eft
renfermé pour fatisfaire à la cupidité des chaf-
feurs, &v qu’ils fé montroient ainfi mutilés pour
trouver grâce à leurs yeux.
Il eft plus fimple de fe mettre à l’affût, 8c de
leur tendre des pièges amorcés avec du bois tendre
& frais.
Voici la méthode la plus ordinaire des chaf-
feurs : leur bande fe partage ; les uni vont fe
cacher dans les ouvertures que lès caftors ont pratiquées
dans la glace ; les autres vont attaquer
leurs cabanes* l ’animal s’enfuit fous les eaux , 8c
vient enfuite refpirer dans les ouvertures , où on
le tue à coups de hache.
Si 1 on veut fai fit ce quadrupède v iv an t, pendant
qu une partie des chaffeurs renverfe la cabane
, u c*far l’autre remplit les ouvertures avec de
la bourre de 1 épi de Typha , 8c dès que l’ animal
y veut entrer -, on le faifit adroitement par un
pied de derrière'.;, ..
• On remarque un changement étonnant dans
lloe ngna-tteumresl , dqeus’ ocna fdtoértsr,u ilto lrefqs um’oonn umlese nsp edrfeé cleuuter lian dpuafttrriiee ,q u8c’i lqs uf’eo nf olenst ffoorrmceé eà ; quleiuttre rf olcei éftoél ndee fe rétablit point:ils perdent leur inftinêl inventif,
s8c’é plaenuoru igr.énie flétri par la crainte, n’ofe plus
peCtitAe eTfp Oèc Le OdeT T ,a rfi.n mqu. ’oOn ntr oaupvpee laleu Mainexfii quuen*e Ldue ncooirrpâst red e8 c clee tf aouifveea uo r:n lean tp laar tpiear tiinef éfuripeéurriee uerae leefst pbllaainncehs âtre , fes pieds font cendrés ; il aime donnent la e8hca fflee anuo urrit de graine. Les habitans catolotyom jouir de fa fociété
8c de fon chant qui eft agréable.
qu’ConA TapTpEelRleO lLesL lEieSu,x ff. ofu.t e(r rCahinasff eo'ù). Cle’se flat paininefsi ftoounst lleeus rjso purest itjus,f q&u ’qà ule’ounr dprite qmui’èerlele fso rretibeo.uchent
au CbAorTdT dICesH rEivSiè r, ecsa &ve rdnees oéuta rnegtsra. ite du Loutre
parCleAr -aVuAx C-LhAie-nHs AqUuaTn,d (il sC chhaafffefe )n t. maniéré de
CAUDEX, oifeau qu’on nomme aufli Gobe-'
lmeo buecch eétccchhaentécdrée C&a yhenénrief.f Iél ad he ufiot ipeos u,c elso ndge dloen 1g5,
lCigent eosi,f ebalua.n ecf ta uin-fdoec niaobulse d;u i lc oefrtp asu, dnaociire àuux- deffus. 8c méacqhuanatti.
qIul efsa.it fa nourriture ordinaire de mouches
touGréA VdeE mE.o nLtaiegun edsa.ns une forêt, creux 8c end’uCnA
RYaOt,P OreLffLeImNb l,a npte taitu aSnairmigaul ed &e laà lgar oMffeaurr
nmaloetst ed;e oln’A lme étrroiquuvee. Idla nesf t ltersè sc-olnatirdé,e sa ymaénrti duinoe
fgouueurilse, tlreèss -fpeineddsu ed ,u lSesi nogree,i ll&es lad eq ulea uceh aduev ela- nCoouurlreiuflvèrnet. dLee sf a Inchdaieirn.s vont à fa chaffe 8c fe
desC BEéNcaDflRineEsE 8,c dtreèss -ppeetittits opilfoemaübx .pour la chaffe
pluCs EgOroAs Nqu ,e fl.a m G. rpivetei.t Sooifne aup lduems aIgned ese f,t ubnl apnecu. L&e sfe psl uamileess. qfouni tr ejacuonuevsr. enCte lflae ps oditer ifnae ,q fuoenu ev efnotnret icmenitder éleas . vSooixn bheucm eafti npee t,i t & menu. On dit qu’il 8c qu’il femble vouloir
ffuaic vilirieté l edse pleà fpfraenndscree. qui donne aux chaffèurs la