
fi vous voulez quils gardent équilibre. dans l’air un jLifte
poLura c healuini eq uoiu l ef sa mgoouuvre qrnuee l,e ds féacuidcoennst caounflçi ofiinvgeun-t luienr eomifeeanut fdaeu vleaugre f,a nilt éf.a uPt oluuir fraéiurefl iari mà aerp pferisv cohifaeîr
tnreosp. ir°u.d eL e& f aturocopn néicelra tnaen tdeo $ itP pooifienatu a vcooimr lma evnocixe Laleosr sg apnatsr qtue’ ilc rtaieinnddrrea ,p o8uc r flien ipt apîatrr e. l,e n eh adïori. ve2n0t. éptooinnnt aanvto icr ocmobniterané léle de mauvaifes odeurs. Il eft & l’oignon paràculierfamuecnotn ea ffda’rooduocrhaetn. t Lc’aeitl a3n9i-m 1a1l ,n e8 c dlouii t rpernédseenntt erf oàu fmesa îotriefe ainu'xu pqoureta bdlees. . v&ia nqdue’isl qlueis- lfeauffre p mlaaifnegnet r: às ’cilo nfotrrèc-ec cleeuurr ,n .aitlu nre’eln , atilrimerean asu ,c uiln ffeenrvtiircae jr e&n aavîterce lee ng olûuti ploeu rg do’aûut trdees l’indépendance.
feaQuuxa ndde opnro ivee ,u ti l pnreé vfeanuitr pleosi nmt alleasd ifeasi rdee vso oleir
cdoannst raurnie tnetm fposn th ulam icdaeu l5e caprr imlesit ivrheu mdee s pqrue’fiqlsu ve : etoftu etensc olreeu d«é fainvcàonmtagmeoudxi t,é sp a;r ceu qnu ’toenm pse rcdo utovuetr-t jào-ucor uopù d eb rvilulee l&e ffoelse iol,if e&au xo ù8 cl e levuern gt inb’ieefrt. Upans cvhioalfefenrt ,l ese ffta cueclouni sq. u’on doit choifir pour faire
le jSoi uorn né pofféde qu’un ojfeau , il faut at tendre en a plu8fci e1u hrse ure où il fera en état 5 mais fi on matin , & les a3u otrne sp peouut ra lper êftoeirr 5l esd aunns s l’péotéu r olne f1 aoint rfaafirta tîcrehmir pleers lao nifueiat udxa nasv- elec vdiensa igcareil jl oounx lqeuuer ldeounr npeâ at uoffrid ianvaeicr e.fuccès de l’eau de griotte avec
oifSeia umxa lcgorné tlreasc pterénct aquutieolnqsu edse sm faaulacdoinens,i erosn ldeuorist lperuorp otertmiopnénraemr feangte. mLene t les remedes à la force de robuftede tous les oifeaugxe rdfaeu px roniiea i,s eenftf uliete pflouns tdiéelriccaetl edt,e l et ofuacs reef tti elne t le troifieme rang 5 le plus aufli que plus un oifëanfaduec opnro nieia visi e: ilolnît erne mliabreqrutée
8c plus il eft délicat 5 c’eft le contraire de l’homme
qquuei qeufta nbdie inl epfltu ps orliocbéu. fte quand il eft fauvage,
oifVeaouixc i dlee s prreomieè:d eles gfaéuncéoranunxie qr ud’oonit dêotnren ea fafuexz prudent pour ne les faire prendre que dans le
dgera mnda l bqeufeo liens :m laelsa drieems.edes font en général plus
"Pilules blanches : Faites tremper pendant quelques
jours du lard dans de l’eau fraîche, prenez-
en la fleur , joignez-y de la moelle de boeuf*
faites fondre le tout peu-à-peu ; quand vous l’ aurez
paffé dans un linge blanc , prenez le même
poids de fucre candi en poudre * mêlez le tou t,
8c faites-en des pilules > fi vous les renfermez
avec foin dans des boîtes, 8c que vous ne les
expofiez point à l’humidité, elles fe conferveront
trois ans fans changerde goût 8c de couleur.
Pilules communes : Elles font compofées de
myrrhe, de fafran & d’aloës incorporés avec du
firop^ d’aloës ou de l’eau de plantin : c ’eft ce
mélange que les Apothicaires nomment Pilules
de tribus j on ne les donne qu’aux Sacres 8c aux
Laniers.
Pilules de campagne : Prenez deux dragmes de
firop fait avec du fucre 8c du vinaigre, le poids
! d’un demi-écu , de la poudre de clou de,girofle ,
8c du fucre candi , autant que vous en pouvez
incorporer , c’eft-à-dire , au moins des deux
tiers de votre mélange ; battez le tout dans un
mortier de marbre , & faites en des pilules
de la grofîëur d’ un grain de froment que vous
donnerez en hiver aux facres 8c aux laniers pafîà-
gers avant de les faire voler.
Pilules de hiera : Incorporez de l’agaric mis en
poudre avec de l’hiera en pâte : les pilules qui en
réfulteront pouront être données en hiver à vos
facres 8c à vos laniers.
Pilules de mufe ? Elles fe font d’ une dragme
d’agaric , autant de cubebes , de fucre candi &
d’aloës fîcotrin 5 vous y joignezune d^mi-dragme
de fafran, autant d’anis , deux dragmes d’hiera-
picra , & quatre grains de mufe 5 le tout s ’incorpore
avec de la canelle & fe réduit en malle :
ces pilules fervent en hiver aux facres & aux
laniers.
Pilules douces : Elles fe font en incorporant dans
les pilules blanches, dont nous avons donné la
recette, un tiers de conferves de rofe en roche,
faites au fucre : on peut s’en fervir en été ; mais
on fait ces pilules d’un tiers moins fortes que les
blanches ; car elles font plus d’effet, quoiqu’elles
aient la même propriété.
Saignée'. Les fauconniers la prétendent nécet-
faire à leurs oifeaux, 'ils la font deux fois l’année
aux oifeaux de mue : on les faigne en perçant la
veine qui eft au-defîous de leur langue, ou en leur
coupant l’extrémité du bec ou le bout des ongles:
on les prépare par une „purgation légère ; par
exemple, avec de la chair trempée dans de la
glaire d 'oe u f , ou avec de la manne & de l ’eau
ïc-oofnev bearttitfufees p eonifnetm ebnl ec h; apnocurre ,q uoen lna obulerfrfiut rle’ onifee afeu de morceaux de chair trempés dans de l’eau fraîche
, ou dans de l’eau de plantain.
cipIal leesft m taelmadsi des’e qnu ev el’néitra tà dl’’éannuimmaél raaptiporniv doeifsé ppreinut
mdoèndneesr q uaui xle so igfueaéurixf fednet -poruo dieu, m&oi ncs ellelse pdaelsli ernet.
noAs pvoipeliellxaired :s ,c epteteu tm aatltaadqiuee,r qleusi effatu lcao tnesr ràe utro duet
'dâge ef jo lteroilp, dpee ufat nlg’o.,c tcraofpîo ndnee rré dpaléntsi ocnes , ooiufe uanu xc o: uilps fpolunst da’leoxres rfcaincse m, ouvement, leurs organes ne font 8c il n’y a qu’un pas de cet état
à la mort.
Ne paiffez votre faucon que de viandes légères
c8hc aliirq udied epso ju lpeatrs ,e xemple, de coeur de veau, dé bés d’eau tiède •: en8cf uditee jielu nfaeus t mleo icnueraeur xp,e nimdabnit
dtraoniss ujno ubros lauvs edce dceo tlo’anlo oëus dmei sf ielanf lpe opurdérpea r8éce m, êdlée - lrae mgrèodfef eluuri do’tuen el’ papetpitéet iftè, vfea,i taevs elce dluu if urcerceo :u vfir ceer en trempant dans l’urine chaude la viande dont on
le paît.
Nos fauconniers ne donnent qu’un remède contre
lla’a npaotpulreex idee, lqau moiaqluaed ilea; d ijvee frofiutpéç doensn cea uufne sp cehua qnugee lm’aérdt edcein sg udéersi rf anu’ceofnt sq u, ec ol’marmt ed ec hdeezv ilnese rm céhdeezc ilness
des hommes.
à lAa ptoêftieh udmese so i:f ecaeu fxo dnet dperso iaeb, fcès qui furviennent mes font un engourdiffement da8nc sd loenutr sle ms feymmbpretôs-, huunme ienuflra mfémtidaeti oqnu di adnésc loeuulres dyee ulexu ,r s8 cn afurirn-etos.ut une
enV laoridcoi nlse ,r ejmoiègdnee z:- yc oauupteazn tu dne qmuoarëtleer odne dbeoe luarfd, mvientgtte-zq utraetrme pheeru rlee st o, u&t dcahnasn gl'eeazu di afrnasî ccheet tpee inndtaenrt
vvoaltlree lc’eoamu pqoufaittiroen f oài s.p Vetoitu sf efaui tdeasn fso nund reb aefnlifnu idtee tteerzr ep e; uq-uàa-npdeu e lulne eqfut aàr tdeermoni- dfoen fduucere , evno upso uyd arejo u8c
ufrhoei ddera: gLmee tdoeu fta fdraonit b êattrteu ,b lioernf qrue’mellueé f,e r&a p rqeufqanude lteros i|s p ailnusl efsa nfos nfte faciotersr o,m eplrlees : fep egnadrdanent t trporièss odue lqau gatrroef fjeouur rdsu, noen p eenti ted ofnèvnee- j acuexla o fief efaauitx lem malaatdines, a&ie notn rleesn dpuoerst.e fCuer lree pmoèidneg ,n eju ffqufuf’iàt cpea sq,u ’&ils lleess
fa u c o n n ie r s qui n’en.donnent qu’un pour trois efpèces
d’apoplexie, en fourniffent deux pour la
même apofiume : pulverifez un gros de femence
de rhue , demi-gros de celle d’aloës hépatique 3
8c une dragme de fafran battu; imbibez ce mélange
avec du miel rofat-, & les pilules qui en
réfulteront achèveront de guérir l ’apoftume.
Aftkme : difficulté de refpirer que le rhume peut
caufer au faucon. Parmi les trente-fix remèdes que
donnent les fauconniers, voici le plus fimple : donnez
à votre oifeau, pendant trois jours de fuite ,
deux pilules blanches chaque main , & fi le mal
continue au quatrième, une pillule commune :
( voyez-en ci-deffus la compofition ) ; vous aurez
foin aufli de ne point mettre votre malade dans
un endroit froid ou trop rempli de pouflière , 8c
fur-tout de ne le point baigner qu’ il ne foit guéri.
Je regarde l’afthme comme la même maladie que
le pantois. Voyez ci-après cet article.
Bâillement : incommodité qui naît dans les oifeaux
de proie des humeurs qui découlent du cerveau
, 8c non pas des filandres , comme difent les
anciens fauconniers.
• Quand on s’en apperçoit, il faut le faire tirer
durant quelques matins , & lui donner dans fa
cure, fi c’eft pendant l’hiv e r , des pilules d’hyera
picra , 8c fi c ’eft dans d’autres faifons, des doux
de girofle avec fa gorge , ou bien des brouts de
faugè.
Barbillons : petites glandes qui fe forment fur la
langue d’un oifeau , 8c qui viennent d’un rhume
de cerveau ; on faigne pour ce mal à la veine qui
eft au-deffous de la langue , & on paît le faucon
avec de la chair coupée par morceaux 8c trempée
dans l ’eau de plantain, dans celle de cerfeuil, ou
dans l’huile battue.
B lejfures, plaies , &c. Elles font faciles à guérir,
pourvu qu’elles foient découvertes 8c qu’elles ne
touchent point aux parties nobles : vous les découvrirez
enlavant votre oifeau avec du vin tièd e,
8c vous les panferez avec de l’eau diftillée de
brout, ou des extrémités de branches de chêne :
on doit remarquer que toute huile ou graifie eft
préjudiciable au pennage de l’oifeau : ainfi il y a
bien des panfemens qui lui font interdits.
La bteffure de l’aigle 8c du héron eft toujours
vénimeufe : on lave la plaie avec l’ eau dont je
viens de parler, ou bien avec les eaux du perfil,
de fenouil, de plantain , de lavande, d’afpic, de
thym 5 8cc.
Ordinairement quand un oifeau eft courageux,
il gagne beaucoup de blefiures dans les ailes»