
Le héron bleu dinaire , & dont qlau i heuftp pdee elaf t tdaeil léc oduule huérr opnl oomrbée.
Le héron brtifi qui eft une efpèce de butor.
• Le héron châtain qui eft le plus-petit de tous les
hérons.
' Le héron crêté , connu des naturaliftes fous le
nom d'aigrette.
noLme dheé rboun téotro. iléÜ- ,e no iaf edaéuj àp aérteéf ptèaurxlé cào ncne um foout.s le
Le héron huppé de l'Amérique , dont lés grandes
pennes font npirés, & qui a quatre pieds & demi
de hauteur.
revLêetu heésr cdne àp lbuemce. sr e,c o&ur bqéu ij edfto pnet ulte-sê tcruei ffuense f oenft
pèce de courlis.
Le fquaccîo 3 héron de couleurs variées qu’on
trouve en Italie.
Le crabier, héron particulier des Antilles qui
fe nourrit de crabes.
& Llee sg huéirroantisn dgüuaÉ.réfïl qui font le foco y le cocoi,
HÉRONNEAU. Petit du héron.
fauHcoÉnRs OtrNèsN-pErRop. rCes’ eàft hveorolenrn leer -h :é rilo ny ;e nil a y m à êdmees qui volent dés oifeaux plus grands que le héron.
HÉRONNIER. Oifeau qu’on dreffe à la chaffe
du héron.
oùH lÉesR OhéNroNnIsE fRoEnt. lCeuer sm poet tidtésf jig ’2nPê. , leï °.n olem l ideue
lv’éeensd eroni tl ’aoiùr olen Tloesn' gé ldèev eq;u e3l®q.u ceesr trauiinfeifse alouxg,e sc éoluevmeerntets
à àd rcelfaiierre -lveouire a*i re&. Loùe sl epse thiétsr oqnusi sf’oanctc oduétnuichés
fur ces héronières font très-eftimés.
HERPAILLE, ( vénerie ). .Nombre de biches
& de jeunes cerfs aflèmblésV’
HIBOU. Oifeau'no&urne, connu fousde nom
ldae cchhoaut-ehttuea ,n tl,e &du qcu,’ olna af rfeofauyvee n, t lcao cnhfoenvdêcuh aev e&c l’hulotte.
efpUècnees Aden ghuilbaroituéx. ,q uci ’eefftt dcéo mclimgnunere làe st oyuetuexs leens fraieifuarnet defcendre la paupière fupérieure fur l’inféfaire
d5e bcreut iot,i fceraiue edf’tu nfoer mt- amnaièigrer el u,g uilb vreo le fans nourrit ordinairement de fouris. 3 & fe
Cet oifeau a les oreilles fort ouvertes, furmontées
d’ une aigrette compofée de lîx plumes d’environ
un pouce de longueur. Il ne pèfe que dix
onces, & n’eft pas plus gros qu’ une corneille. Son
envergure eft de trois pieds. Il a le déifias de la
tê te , du dos & des ailes rayé de gris, de roux &
de brun , là poitrine & le ventre roux , avec des
bandes brunes étroites. Son bec eft court & noirâtre
, les yeux d’un beau jaune ; & fes jambes
font couvertes de plumes touffes, jufqu’à l’origine
des ongles. Son cri eft une forte de gémilfement
grave & prolongé, eowl, cloud, qu’il ne celle de
répéter pendant la nuit. 11 habite ordinairement
dans les anciens bâtimens ruinés , les cavernes des
rochers , &r les creux des vieux arbres, dans les
forêts en montagne , & ne fe montre guère dans
les plaines. Ces oifeaux pondent le plus fouvent
dans de~vieux nids de bufes ou de pies.
Il y a dans la baye d’Hudfon un hibou couronné.
Il vole quelquefois pendant le jour qu’ il confond
avec la nuit, parce qu’il eft accoutumé par la réflexion
de là neige de ces climats, à voir aulfi
clair la nuit que le jour.
On prit à Zur ich, dans le fiècle dernier, un
hibou qui mérite d’être connu, à caufe de fa rareté
; il avoit le bec pointu & percé de deux trous 3
fes yeux enfoncés étoient couverts de larges paupières
y environnées de plumes au lieu de poils 3
fa queue & les ailes étoient de même longueur ;
la taille de ï ’oifeau étoit de plus de demi-aune *
'& fa largeur étoit double, quand fes ailes paroil-
foient étendues ; on ouvrit ce hibou fîngulier,
& on trouva dans fon corps un oifeau rouge avec
fon poil & fes plumes.
HIRONDEL LE, f. f. Oifeau dont on connoit
(en Europe, plulîeurs efpèces ; favoir :
i ° . Hirondelle domeftique, ou de ville , ou de
cheminée. Elle pèfe à peine une once; elle a üx
à fept pouces de long , & près d’ un pied d’envergure.
Son bec eft court, noir , fort large près de
la tête , pointu par le bout ; l’ouverture en eft
très-ample. Sa langue eft fendue en deux. Ses
yeux font grands & fournis de membranes clignotantes.
Ses pieds font courts & noirâtres 5
;fon plumage eft d’ une couleur bleue foncée rougeâtre.
Sa poitrine & fon ventre font blanchâtres,
avec quelque rougeur. Sa queue eft fourchue. C et
oifeau a un gazouillement agréable , mais monotone.
On ne peut le tenir en cage ni volière. Cette
efpèce d'hirondelle fait fon nid en forme de panier,
aux planchers & aux cheminées. Il n’y a
point d’oifeaux qui ait un vol aulfi rapide & aulfi
tortueux. Elle mange en volant. Elle a les pieds
trop courts & trop foibies pour marcher comme
\hirondelle domeftique , part quinze jours plutôt
que les autres efpèces ; elle arrive aulfi quinze
jours avant. Elle change de climat pour y trouver
là nourriture ordinaire, qui ne le rencontre
qcuheaf feduerpsu iss’ elxee rpcreinntt efmusr ljeusf hqiur'oàn dl’ealuletos mpnoeu. r Laeps: prendre à bien tirer au vol.
z°. Hirondelle ruftiqttc ou de campagne, ou hironr '■
iclk de fenêtre, ou à cul blanc, ou petit martinet. Cette efpèce fait fon nid aux fenêtres, aux portes &
aux voûtes des églifes. Ce nid eft artifteieufement.
cboonufet r&ui t d5 ed pea iflilgeu rgeâ fcphhéés rieqnu ef o, rm&e cdoem mpoofrét iedre. nOind da ‘vhiur odnedse lmleo, in&ea ux qui s’étant emparés d'un n e voulant pas en fortir, y ont été enfermés par une troupe d’hirondelles qui ont maçonné 1 entrée du nid, & ont ainfi
fait juftice de ces ufurpateurs.
L’hirondelle ruftique eft blanche par-delïous le
corps , jufques aux doigts de fes pieds.
pre2f°q.u Ge rdaen dlea hgirfoonffdeeullre doeu gl’réatnodu rmnaeratuin. etS. oEnl lep leuft
bmlaagnec hee ftà glari sgâotrrgee &fe uolebmfceunrt ; : eellllee aa l’uonuev'e tratcuhree adiug ug io ffieesr tarièless- amfopnlte .l'oSnognu ebse ;c feaf tq upeeutei t,e fnto fior u&r
qchuu’aeu ; dfeefsf ujsa mdebse sd fooingtt sc, oquuvie rftoesn td aer mpelsu md eosn gjulefs- laeisg upso. ntEsl l,e d afanist loeus rpelnutteôst cdiems eanrtbe refso n, nfoidu sf oluess téoleitvsé sd ei sf a tovuuers e, ft& p edrçaanns tel.e sO nb âlt’iemnteennsd lcersi epr ldues lcohien ., E&n vfeosl aanilte, sf-âu qnu aeruce t efonrdmu e, ufnoen gvroaln deeft ftoruèsr
rpaeptiidtse .i nLfeeé lmesa, r&ti nmetê mfee dn’oouerurfist ddee pmetoitusc ohiefesa, udxe.
la 4*q*u. Leu'hei rofonudercllheu dee croivmièmree olue sd ea ruitvraegse enf’ap èpcoeisn ti eellllee fae u cno nctoelnliteer db’ulann ctr ;o ue llqeu ’neell ef afiat ita uecnu tne rrneid & , qduép’eollfee r gfaesr noeit ufdse &p léulmeveesr &fe s dpee tmitso.uife pour y
L 11 y a encore beaucoup d’efpèces étrangères. l'o’huivrorinrd eenll ea pdup aBrernécfiel aj ulfeq ub’aeucx ygeraunxd. , 8c peut
L‘hirondelle de l’Amérique a le plumage couleur
de pourpre.
Vhirondelle du détroit de Gibraltar ou d‘Efpagne, eft de couleur fauve 8c a le cou blanc.
Hirondelle de mer. On compte huit efpèces A’hirondelles
de mer, dont la-plus grande eft appellée
ppireèrsr ed-ge ardienu xf upr ieledss cdô’teensv edreg luar eP, iceaftr dgirei fe; feullre lea advoesc, udn’uen c ableoatute b nlaonicre f ufru rt olua tt lêet ed,e v8ac nat dleu bceocr p8sc, les pieds rouges. On la voit quelquefois fur les
rivières, dans l’intérieur des terres. La fécondé ,
appelée petite hirondelle de mer, reflèfnble parfaitement,
pour les couleurs, à la précédente ;
mais elle n’eft pas plus grofle qu’une alouette. On
la voit de même dans l’intérieur des terres , fur
les étangs 8c rivières. La troifième, qui eft de
taille moyenne entre les deux précédentes, eft
blanche fous le corps, & le refte de fon plumage
eft mêlé de noir derrière la " tê te , de brun nué
de roufsâtre fur le d o s , & de gris frangé de
blanchâtre fur lés ailes. On lui donne le nom de
guifette fur les côtes de Picardie : on la voit fur
la . Seine & fur la Loire. La quatrième , appellée
en Picardie guifette noire , & ailleurs, épouvantai/,
a la tête , le cou & le corps d’ un cendré très-
foncé ; fes ailes feules font d’ un joli gris, qui
fait la livrée commune des hirondelles de mer.
Voilà les quatre efpèces que nous voyons ordinairement
fur nos côtes : les autres paroilfent
n’appartenir qu’aux mers étrangères. Les plus
grands de ces oifeaux vivent de poilfons & d’in-
feétes ; les autres feulement d’infectes volans ,
qu’ils gobent en l’air.
H OAN -CY C IOYU. Animal qui fe voit dans
la province de Quantongenchine , &r q u i, fuivant
le’ récit ou la fable d’ un voyageur, tient de la
forme du poilfon & de Toifeau. Il eft jaune pendant
l’été , & vole fur les montagnes ; dans l’hiv
e r , il fe retire dans la mer. C ’eft alors, dit-on ,
qu’on lui tend des pièges ou qu’ on le pêche avec
des filets. Sa chair eft fort délicate.
HOAZIN , ou faifan huppé de Cayenne. C e t oi-
fëau eft de la grofleur d’une poule d’ Inde: fon
bec eft courbé; fa poitrine eft d’un blanc jaunâtre
; les ailes’ & fa queue font marquées de
taches ou raies blanches ; fa. tête eft ornée d’une
huppe compofée de plumes blanchâtres d’un côté
& noires de l’autre. Il habite ordinairement les
grandes forêts , & fe perche fur les arbres le
long des eaux , pour guetter & furprendre les
ferpens dont il fe nourrit. Son cri eit un hurle-
lement effrayant.
H O B ER E AU , f. m. C ’eft après l’émérillon le
r plus petit des oifeaux de leurre. On s’en fert dans
la fauconnerie pour chaffer les petits oifeaux. Si
le chien fait lever une alouette ou une caille ,
& que le ch a fleur la manque, le hobereau qui eft
aux aguets ne-la manque point. Il s’approche
très-près du chaffeur & femble ne pas craindre
les armes à feu. C e t oifeau demeure & niche dans
les forêts , où il fe perche fur les arbres les plu$
élevés. Lorfqu’ï l eft drefle pour le v o l , on le porte
fur le poing découvert & fans chaperon. On en
fait fur-tout ufage pour ta chaffe des perdrix 8c
des cailles.
HOCISANA. Oifeau du Mexique ; fon plumage
1 eft bleu, & f a queue fort longue. Il aime les lieux