
Quand elles lant avec def el 'teoarud ecnhta, uodne .l eQs udarnedff ee elnle lse sf omnot uuiln
pfaeiut cphlaiéueffse,r oenn tprere dnedu xd ebs rtariofnecss, doen clehso ufe nqdu 'oenn ldoanngs, a: vleac cuhna lceouurt efuafuf i,t &po uorn léat emnde tltar ep ednannes dfoen
éqtua'et llnea ttuiernenl.e Seni cloa rep epnanre l ee fnt eàr fd feumpéi-rrtoeumrp, uile f,a 8uct efanitrree e lnetsr edre uunxe maiogruciellaeu xfi ndee elnaf ipléeen ndee f, oipeo udér liléees foutenir , 8c couper la foie quand l'aigu’lle eft envtroéues.
lL'eonrtfeqzu ed alan sp uennne ea uefttr ee,n t8icè rveomues nfta irtoems tpeuneir,
1 ente avec de la bonne colle : ainfî la méthode
lqeus oann imemaupxlo. ieL epso fuaru cleosn vnéiegrést apurxo p, offeerntt auunffei apuoturer enfep fèocnet dq'ue'nà tdee, mci'e-rfot mceplulee sq,u i& fe drto naut xn opuesn nveesn oqnusi ldaei rpea, rlpeor in: tlu'aei gpuairl lele sd odnetu xil sb'aoguitts i,c i8 cé flto ntrgiauneg due
dÇeruvxi rt,r aovne rsl a dter edmopiget sd} aunns el eh ejuusr ed ea vlainmt odne, s 'oenu . rdoumnsp tu ne notirgen loens. JSoii nptuarr ehs,a falerd f alu'aciolen ennet ipèoreu rrfae lfee rpvairn fde'ur,n oann l,e mtoanisd ial ugtuoéurirr ad ea plar èbsl elaf fmuruee, : &po ounr rmedinrceeffse d l 'eaciloer ceen dlea jleiaunnte epnitnr e: odne uyx appipèlciqeus ef eonr-t gfuointe 8ucn ed eem gplaliârter ed d'oee buofl,i faurimvaennti , lda er feacnegt tdee ddorant
dneo ulsa p jaarmlebreo jn s& to quuta àn ld'h ielu freer aa ug fuuéjreit, d eo nla lruuip tfuerrea lf'eézt uuvne p fouti vdaen tteer rpeo udru rmameiollleliur rf evsi nn e: rmfse t: terezm-yp ulinfe- pmoeingtn ,é e& d uen r qoufeasr ts dèec hpoesu,d raeu tdaen tm dyerr hfoen : cdoeu vfrreoz
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tomCbaeta raauixïe y:e éucxo udlue mfaeuncto dn' u: noen hlua mgueuérri tc raavffeec qduui
fucde racine de chélidoine qu'on a d’abord ratiffée
; on détourne auffi le m a l, en purgeant premièrement
les oifeaux avec des pilules de filaffe
ou de coton , 3c en -leur foufflant dans les yeux
deux fois par jour une poudre d’aloës 8c de fucre
candi : quand la catara&e eft invétérée, elle eft
incurable.
Crac : on le guérit en purgeant l ’oifeau avec des
cures de filaffe & de coton , & en le paillant de
viandes macérées avec de l'huile d’amande douce,
& de l'eau de rhubarbe alternativement. Si le mal
eft extérieur, on frotte les parties malades avec
de l'efprit-de-vin tiède.
Croye : efpèoe de gravelle des faucons j cette
maladie eft dangereufe durant l’hiver 5 le la it , le
fucre 8c l'huile', battus avec le fucre , font beaucoup
d'effet j paiffez votre oifeau avec des morceaux
de viandes réunis avec de la glaire d’oe uf
& du fucre candi pulvérifé , & il guérira : on doit
avertir que cette maladie ne vient jamais que de la
négligence des fauconniers. k
Dégoût '(falimens : la perte de l'appétit annonce
des maladies qu'il faut prévenir : préfentez le bain
à votre oifeau, 8c paifiez-le avec des morceaux de
chair détrempés dans de l'eau de chiendent ou de
chicorée.
Fièvre : l'endroit où perche l’oifeau atteint de
fièvre, doit être frais , obfcur 8c féparé du bruit ;
on le nourrit de foie de poulets ou de chair de
petits oifeaux, après les avoir fait macérer dans
de l'eau de chicorée fauvage ; il eft bon auffi ,
fur-tout en é té , de mouiller les pieds & le bloc
de l'oifeau de fuc de plantain ou de jufquiame.
On reconnoît qu’un faucon a la fièvre lorfqu'il
tremble, que fes pennes 8c fa tête font penchées,
que le duvet au-deffous de fon menton eft hériffé,
& qu'il rejette le pat qu'on lui préfente.
Filandres : efpèees de vers allongés qui habitent
dans les boyaux des faucons, & qui fe nourrirent
des fupërftuités qu'ils y trouvent : cette vermine
eft peut-être nëçefiaire à ces oifeaux quand ils font
fains 8c robuftes 5 mais elle eft dangereufe quand
ils font maigres & décharnés } car alors au défaut
de nourriture , elle attaque la chair 8c le fang Se
fes hôtes. Dans ce dernier cas, il faut les défendre
de ces atteintes avec des remèdes particuliers j
l'herbe d'abfynthe mêlée avec leur p â t} eft mer-
veilleufe 5 on vante auffi les pilules, de mufc,
d'aloës, de tribus ou d'hyera picra. Voyez ci-
defliis leur compofition.
Fourmi : mal qui vient au bec du faucon, 8c que
peuvent occafionner les coups qu'il a. reçus en
volant, ou la négligence de celui qui le gouverné;
on y remédie en-coupant les crochets & les bouts
du t>ec, fur-tout à l'entrée 8ç à la fortie de la
mue.
Goutte : cet;te-maladie cruelle e ft‘l'écueil des
médecins, f o r t pour les hommes, foit p o u r les
faucDns > elle attaque quelquefois dans l'été les
facres 8c les laniers 5 il faut alors les biffer en repos
, les tenir fans jets ni longç, & leur permettre
de fe coucher fur un carreau de marbre : fi on les
purge, ce ne doit être qu'avec de la manne fi mple.
réunie à leur pât. Quand les accès font paffes,
ces oifeaux recommencent leurs vols à l'ordinaire.
Les faucons fauvages ne font fiirement pas goutteux,
8c il eft trifte pour ces animaux, qu’ en fe
civilifant, ils c o n t r a c t e n t toutes les maladies des
hommes civilités.
Jîautrmal : on reconnoît fi l'oifeau eft fujet à~
cette maladie , avec un parfum.de naphte : fon
odeur fuffit pour faire tomber le faucon atteint
du haut-mal..
On y remédie , dit-on., en appliquant le feu au
fommet du cerveau, 8c en joignant à foYi pât l’eau
de figues sèches , leJait de chèvre , le fang d-
belette , la cervelle de- renard, & la chair dt
tortue terreftre. On peut lui mettre auffi le fiei
de la tortue dans les nafeaux. Je penfe que tou*
ces remèdes ne font que pallier le mal 8c ne le
guériffent pas.
Mal de bouche : il vient quelquefois à la bouche
des oifeaux de proie des excroiffances de chair
blanchâtres ou noirâtres , de la groffeur de petits
pois, qui les empêchent de manger : il faut les
couper avec adreffe, & fi l’endroit ne le permet
pas , imbiber du coton d'huile de foufre aiftillé Se
le mettre fur ces excroiffances.
Si ces excroiffances fe changeoient en ulcères,
on mettroit fur la cendre chaude & on pulverife-
rait du miel rofat, ou de la poudre de coque de
noix 8c de celle de tithymale liées dans un linge
mouillé , & on en placeroit la pouffière d u r l 'ulcère
deux fois par jour : il y en a qui lavent la plaie
avec du jus de citron. Quand le mal fe guérit,; on
le frotse de fyrop de mûres.
Mal de mains : on le guérit en général en oignant
la partie malade avec de vieille huile d’o liv e , ou
en la frottant avec une compofition de blanc
d’oe u f, de vinafgre 8c d'eau.
Si ce font les jets qui ont écorché la main de
l’oifeau, il faut la frotter de beurre ou de graiffe de
poule; mais cette onélion doit être légère , pour
ne pas gâter fon pennage : quand le fang fort avec
trop d'abondance de la plaie, on l'arrête avec un
cautère.
Quand les mains enflent un peu à votre oifeau ;
un emplâtre de boli-armeni, le fang de dragon
8c de glaire d'oeufs , fera réfoudre l'humeur ; 8c
s'il s'y forme une glande, vous l ’ôterez en peu de
jours' avec un bouton de feu. Si l'inflammation
dure trop long-tems, vous lui couperez la veine
fuivant la méthode fuivante :
Vous faites tenir l'oifeau à la renverfe , vous lui
plumez la cuiffe en-dedans, 8c vous reeonnoiffez
la veine ; vous l'accrochez 8c la liez en deux endroits
diftans feulement d'un travers de couteau ,
8c vous coupez la veine au-deffous du ports-fon-
nette. Il eft bon d’avertir qu’il n'y a qu’ une main
déjà exercée qui puiffe faire avec fuccès cette
opération.
Mal de naseaux : quelquefois î’ afthme caufe une
fécondé maladie , c'eft de deffécher les nazeaux ,
8c de les boucher avec les humeurs qui découlent
du cerveau qui y font retenues : l’oifeau eft
alors obligé d’ouvrir le bec pour refpirer.
Il y a des fauconniers ignorans qui s'imaginent
remédier à cette maladie en ouvrant avec un fer
chaud les nazeaux du faucon : ils rifquent d'abord
de le rendre difforme , 8c enfuite^ de boucher davantage
les nazeaux qu'ils veulent ouvrir ; il vaut
mieux commencer par ôter le rhume* qui eft la
fource du mal. Quand l’oifeau a tiré long-tems fur
le tiroir , le valet le fuce avec la bouche, 8c on
donne enfuite au faucon des pilules d’hiera picra,
incorporées avec de l ’agaric. Une étuve d’eau de
mer eft encore excellente contre le rhume.
Si vous êtes obligé d'en venir au cautère, prenez
un fer rond qui foit par le bout de la groffeur
d’un p o is , vous le faites rougir, 8c vous lui en
donnez le feu au fommet de la tête ; vous en prenez
enfuite un autre tranchant par l'extrémité ,
8c vous lui en donnez le feu entre le bec 8c l’oeil.
Mal d\oreilles : Les humeurs du cerveau prennent
quelquefois leur cours dans les ore illes,
8c y forment une glande chancreufe : on y remédie
en nettoyant la partie malade avec un
cure-oreille , en purgeant l'oifeau avec des pilules
d'hiera picra 8c d'agaric, quelquefois en
lui donnant un bouton de feu au fommet de la
tête jufqu'à l'os 5 8c fi le mal ne diminue point,
en fai faut rougir la pointe d’un couteau pour
lui fend ce l’oreille. Le faucon doit être panfé
foir 8c matin.
Mal d'yeux : S’ il vient de fluxions, on purge
l’ oifeau avec des pilules de filaffe 8c de coton ,