
mais le moment leur rendra leur fdo’uapplerfèfse,. lLao rcfhqaulee ulre sd beo ltate jsa mfobnet fnaeuutv leess, paovratenrt ddee ulxe uoru’d otrnonies r fcoeitste, oanfiént iodne l,e uirl Aotveerc c deet sa bpoptrtêets gariansf i qpur’éopnat rtéoeuss, olens pceuuirts cnheaufffesr. lteesr jlo’euarun éneis l 'ehnutmièirdeist éd a,n s& le sT omna reafits s ,û rf adnes rreendtoruer
chez foi la jambe & les pieds fecs.
( Extr. de la chajfe au fufil. )
paiTreI RdO’aiIlRes, dtee rcmhea podne ofauu cdoen pnoeruilee.t aCju’efftté eu nene fraoçuogne ,d ’o&if edaoun ,t alevse cf auunc opnentiietr sm foer cfeearuv edn’té ptoofufer rappeller l’oifeau de proie fui le poing.
a CTa1yTenIRneI., Cefeptè coei fdeaeu paie -hguriitè cphoeu cqeus’ odne trloounvge, hleé^r bifelcé dape pmlaotiu,f téacphaeiss ,, locnrogc hdue àtr eli’zeex trléigmnietsé , 5 lfea Nlnaonigru, el ee bftr uanig, ulëe 8.gcr ics-abrltailnacg innueaunlec e;n lte f ojna upnlue,
cmraig, en. eL cer atiintitr ip 3o inaitn flie sn oomifëmaéu x à dec apurfoe ied e& floens pourfuit même pour défendre lès petits.
oùT lI’oTnR pEo,f e enle st ecrmhiee nds e pcohuarf fec ,o ucr’ierf tl au nb êretela iàs propos & quand elle pâlie.
danTsO lCe- KroAyYauEm ,e edfep èSciea md.e Illé zeaftr dd efourxt fcooims mpluuns pgerôaus qcuhea gnrionsé elé z&ar dbsi gvaerrrtése. Hd ee ftta cchoeusv eornt ddée’usn e, dga’urnni eb ldeeu -cpllauifri.e uSrsa qrauneguse deef t pfooirntt elso ncgounieq,u efsa tête eft de figure triangulaire.
de Tl’OétCouOrnLeIaNu ., Soiofne apul udmu aMgee xeifqt uvea rdieé ldae g jraoufnfeeu ,r de noir , de cendré; Sa chair eft bonne à manger.
oifTeaOu CeKft Opl,u cs ’egfrto sla qpueer dnroitxr ed pee rlda riGxu gyrainfee . , Cfoent
penlu mtoaugte lee ftr epûlues. foncé , mais il lui rcffemble
droTiOt, DlonIgE R, p,l,a ngee &nr eo bdt’uosî.f eIal uy edno nat dele plbuefcie uerfst le’fApmècéersi qAu tee llfeèsp tqenuter îloen taoldêi er a, poitrine rouge de Indes A le 5. le todier varié des todier cendré de Surinam.
ïoiCteelse t»o ifea,ux ne font guère plus- gros que le
TOILE". Manière de chaffer en faifant une
fger agnrdoes egnicbeiienrt.e d"e toile-& de filets.pour prendre
T O L À I , quadrupède qui habite les terres
voifines du lac B.iikal en Tartarie. Il eft plus
grand au’un lapin auquel il 'reffemble par la
forme du corps, par le p o il, par les allures,
par la qualité 8c la faveur de la chair. Il fe creufe
de même des terriers. Sa queue eft plus longue
& plus forte que celle du lapin.
TO UCAN A , oifeau du Mexique, efpèce d’é tourneau
qui fe plaît dans les plantes aquatiques
ou il trouve les infeétes dont il fe nourrit. Sa
tête eft brune, & le refte de fon plumage eff
noir.
TONELLER , c’eft chaffer, prendre du gibier
avec la tonnelle.
TONNELLE , filet qui a deux pans , que
l’on tend en angle obtus , pour former une efpèce
de muraille de chaque côté d’ un eul-de-fae
du file t, profond de quinze pieds, dans lequel
viennent fe prendre les perdrix , que l’on conduit
dedans, en marchant à pc tit pas à l’oppofite du
file t , 8c portant une figure de v a c l i faite en
ofïer , pour moins épouvanter les perdrix , 8c
les faire courir à pied fans qu’elles s’envolent.
On donne auffi le nom de tonnelle à une figure
de boeu f ou de chev al, peinte fur la to ile , on
à une peau de ces animaux étendue fur une
claie que le chaffeur porte devant lu i, 8c dont
il fe.couvre pour fuivrè le gibier &hs l ’effrayer * 8c le faire entrer dans les filets.
t T O R C H L P O T , genre d’oifeau dont on dif-
trngue plufieurs efpèces 8c q i a le bec en forme
de coin. Ces oifeaux grimpent fur le tron6 8c
les branches d s arbres à la manière des p ies, pour
y chercher des infeftes dont i.s (ç nouriffent. La.
couleur ordinaire de leur plumage eft cendrée. On.
en trouve des' efpèces particulières au Canada
à la Jamaïque , à la Caroline.
T O R C O L , oifeau qui a fipt pouces & demi
de long & dix d’envergure t fa langue eft ter-
minée^par une épine offeufe & pointue , il la;
darde à une difhnce très-confidérable. Cet oilean
hériffe les plumes de fa tête en forme de
huppe, comme le geai; il tire fon nom de la
manière fingulière dont il tourne fa tête en arrière
. on trovtve beaucoup de torcols en Suède
vers le printemps..
TORTUE.., animal amphibie d’une ftruéhire
fingulière ; il y en a trois efpèces ,.les unes h a b itent
la terre d’autres la mer , & les dernières
l ’eau douce.
La tortue de terre eft couverte d’une écaille
élite en.écuffon. 8c marbrée de diverfes couleurs;»
cm ne voit de 'cet animal que la tète qui ref-
fëmble à celle du ferpent : la cairaffe de la
tortue fert à'fon corps comme d'un rempart impénétrable
elle eft fi folide qu’un caroffe paffe
diffus fans l ’applatir.
La tortue de terre- fe trouve dans les forêts ,
dans les champs & fur lés montagnes , elle vit
de fruits & d'herbages, St mange les infectes
& les limaçons : fa chair eft très délicate.
Les tortues de mer forit plus greffes que celles
de terre, leur tête fe termine eu bec de perroquet,
& leurs pieds font faits en forme de nageoires.
Ces tortues font d'une taille fi confidé-
table que quelques érhyopiens fe fervent de leurs
écailles en gtiife de barques pour naviguer près
du continent : un voyageur alfure avoir vu dans
l'océan indien . des tortues d'une telle grandeur
que quatorze -hommes pouvoient monter à la
fois fur leur écaille fupérieure.
Les tortues d'eau douce ont leurs écailles noires,
leur queue reffemble un peu à celle du rat d'eau ;
on en trouve en France; elles peuvent vivre
jufqu'à 8p ans : ces animaux font vraiment amphibies
, quoiqu’ils fe tiennent plus volontiers
dans l'eau que fur la terre ; mais comme ils
détru itnt les iofeûes , on les met dans les jardins
pour conferver les plantes & les fruits.
T O U C A N , efpèce de pie du Bréfil, dont
le bec eft monftrueux, car il a fix pouces de
long & deux pouces & demi de large à fa racine :
le jaune , le blanc, le cendré , le ro u g e , le
noir nuancent fon plumage. Sa langue reffemble
à une plume d éliée,: la Angularité de fon cri
lui a fait donner le nom de tacataca.
TO UCHER . Les chaffeurs difent qu'une bête
fauve - touche à fon bois quand elle veut ôter
la peau velue qui le couvre.
: TOUCNAM-COURRI. C et oifeau des Philippines
eft une efpèce de gros-bec ; fon plumage
eft jaunè. Il compofe fon nid de fibres de feuilles
entrelacées en forme de petit fac ou de long
canal dont l'ouverture eft en bas & ne paroît
point.
T O U C O Y , terme de vénerie. Lorsqu'un limier
veut crier dans les voies , on lui donne
quelques légers coups de traits en difant toucoy ,
chien, toucoy !
TO UPE T-B LEU , oifeau d elà Louifiatie dont
la longueur totale eft de quatre pouces. Il eft
remarquable par la variété & la beauté de fes
couleurs. Le bleu pare fa tête & le devant du
fcou ; le rouge orne le ventre 8c la queue,
le vert brille fur fon dos 8c fes ailes ; un roux
éclatant fur le refte de fon plumage. Son bec
eft couleur de plomb , fes pieds font gris.
TO U R D E , oifeau de paffage ; c ’eft une efpèce
de grive de la groffeur d'un merle. Sa
chair eft très-delicate;
TO U R N E R , terme de vénerie ; quand la bête
pourfuivie par les chaffeurs fait un retour, on
dit qu’elle tourne. On fait tourner les chiens pour
trouver le retour 8c le bout de la rufe.
TO U R T E L E T T E , oifeau plus petit que la
tourterelle, 8c qui a une queue plus longue.
Il porte une efpèce de cravatte d’ un noir brillant
fous le cou & fur la gorge.
C e t oifeau fe trouve au Sénégal, au Cap de
Bonne-Efpérance & dans les contrées méridionales
de l’Afrique.
T O U R T E R E L L E , oifeau dont il y a deux
efpèces differentes. L’ une un peu plus groffe,_ôc
diftinguée par une forte de collier n o ir , arrive
dans nos provinces feptentrionales vers le mois de
mai, fait ordinairement deux pontes, chacune de
deux oeufs feulement, 8c s’en va au mois de fep-
tembre.
Pendant l’été , on l’ entend chanter, ou plutôt
gémir, dans les b o is , dès quatre heures du matin,
comme le ramier. Comme lu i , elle fe perche par
préférence fur les branches sèches dss arbres , 8c
on l ’approche de même, en avançant lorfqu’elle
chante , 8c s’arrêtant dès qu’elle ceffe. On fe fert
auffi quelquefois, pour l’attirer, d’un appeau. En
été , fur-tout dans les grandes chaleurs , on peut
l’attendre [’après-midi, au bord des petits ruif-
feaux , où elle vient fe défakérer.
La méilleure faifon pour tuer ces oifeaux, celle
où ils font gras , eft le mois d’ août, pendant 8c
après la récolte. On trouve alors les tourtereaux
répandus dans les champs, 8c fur-tout dans les
chaumes de bled. Qn les furprend quelquefois
dans les bleds, où on les tue à la-portée; mais
pofés dans les chaumes , ils attendent rarement le
chaffeur , à moins qu’ il ne trouve le moyen de fe
couvrir de quelque naie pour les approcher ; mais
l’occafîon fe préfente quelquefois de les tirer au,
vol en paffant, & l’on peut en tuer d’autres, en
les abordant avec précaution , dans les arbres où
ils vont fe pofer après s’être envolés.
Les tourterelles font fur tout très-friandes de
millet, & l’on en voit beaucoup plus dans la partie
méridionale du royaume que par-tout ailleurs. On
en prend en grand nombre dans le Béarn, avec des
f filets à nappés, tendus dans des chaumes de bled
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