
M o n t a g ” e 5 PLAN D HAYEL
Roule/ de-
C a m p a g zi
1 Palais de J 'elol
1 Tour oaale
2 Palais de JTétaab
3 P la c e /
4- Palais eVOèeÿd/
¿Masquée'
S P la c e d u Jiaj-cJie
7. C h â te a u , d e Z a m il
8 Jardisis dwPalaù
9 Grande/Rue-
10 Place'principale*
11 ChàteazoâlÂbdéOMaltsin'
12,13Ouartier’ck'IalieiIleJille' It Mcüspn'de'Pdheyn
13 Maisoïc dc/Dofiep
17 Maison, d ’OdjeUy
18 Jardins etS^iniartier
dc'la, v ie iU c -tn u c* .
TSlfauoeaU' quarliei ■
20 Porte'conduisanJ' àAa
Route/du/JOfoiif•
21,22,23,24.27,23,21,28,20
autres portes.
30 Notre jnccisojiy
CHAPITRE IY.
SÉJOUR A HAYEL.
Überall regt sich Bildung und streben,
Alles will sich mit Farben beleben,
Doch- an Blumen fehlt’s in Revier,
Sie nimmt geputzte Menschen dafür
Kehre dich um von diesen Hohen
Nach der Stadt zurüch zu sehen.
(Goethe.)
Audience particulière de Télal-, — Ses■soupçons. — Notre demeure. —
Nous donnons nos premières consultations. — Comment nous réglons
notre temps. — La science médicale en Arabie. — Influence du mahométisme
sur la médecine. — Remèdes employés parties Arabes. — Les
Solibah..— Excursion hors des murs d’Hayel.— Aspect du marché. —
Visiteurs et malades. — Odjeyl. — Abdel-Mahsin et les fils de Télal.
Mohammed-el-Kadi. — Le paysan de Mogat. Dohèym. Immigration
kasimite. — Description d’Hayel. — La famille de Doheym. — Un
cas de fièvre. — État de la province de Kasim sous Télal.. — Ruine des
Alayans dé Rereydah...— Premier siège d’Oneyzah. — Intervention du
shérif de la Mecque. — Second siège. — Zamil et .ses partisans. — Les
Arabes-sont-ils capables de progrès? — Promenade dans Hayel. — Le
mirages Pureté detiangage des habitants, du. Sehomer. — Télal se
rend à ;là mosquée.— L’émir Rosheyd. — La maison de Dohey.
Causeries littéraires dans un jardin. — Nouveaux événements.
Une fois délivré de la foule qui encombrait les abords du château,
Télal s’arrêta pour nous permettre de le rejoindre. Après
l’avoir salué de la courte formule d’usage, je lui présentai ma
seule lèttre de recommandation, le billet, que m avait remis le
gouverneur Hamoud. Il l’ouvrit et le tendit à Zamil, plus versé
que lui dans d’art de déchiffrer l’écriture. Mettant alors de côté
sa gravité officielle, il prit un air de bienveillance et de bonne