• leurs $ejirées principales,; et la culture du café
né.eqçsjie celle du vçipqi.
A n if.
Vendée
miaire.
Le trpisieme torrent que nous rencontrâmes
était le premier bras, à iar naissance .duquel
nous avons camp ér à la plaine des Chiçots :
yient ensuite la rivière des Pluies, que l’on
trouve bientôt, et qui était peu considérable,
lorsque je la traversai ; mais les roches amoncelées
sur les bords attestaient, par leur volume ,
et par le.frottement qu’elles avaient éprouvé,
comhien, lorsque la rivière grossit, ses ondes
sont impétueuses. Aux environs, tout était
d ’une sécheresse affreuse. Il paraît que le coto-
nier (1) , dont on trouve des plantations, doit
parfaitement réussir, ici»
L ’attérissement cesse, après les rayines de
la Mare et des Figuiers; alors, une verdure
agréable vient décorer le paysage, et les habitations
fle Sainte-Marie bordent le chemin.
On cesse de marcher sur des débris de laves
roulées ; et. le sol est composé de couches
mourantes de laves continues, dont des inégalités
anguleuses saillent çà et là sur la terre
végétale.
Les ravines de Lequideck et du P a rc , qu’on
( j ) G o s s y p i u m h e r b a ç e u m . I #
t r o u v e s u c c e s s i v e m e n t a v a n t d ’ â r r i v e r au Q u a r -
tîpr ont misa jour ces coulées, qui n’offrent Vendé_
’ , . miaire.»
rien de remarquable.
Sainte-Marie est assez agréable : c’est un
rassemblement de maisons de campagne, peu
éloignées les unes des autres * situées autour
d’une baie arrondie, dont la plage est composée
de galets, depuis Saint-Dénis. Une rivière
àsSëz tranquille , ët dont l’eau remplit
le banal, traverse le bourg en serpentant; ce
qui donne de la fraîcheur à la paroisse, d’ailleurs
assez jolie.
L a rivière de Sainte-Marie descend de la
partie la plus basse de la plaine des Fougères,
elle" prend sa source au pied d’un morne, que
l ’on voit de loin en mer. lie principal bras
de la rivière de Sainte-Suzanne , qui donne
son nom à ce piton , en découle du cote
opposé. Il èst a remarquer que les deux rivières
dont nous parlons , avec celle des Roches
que nous verrons bientôt, et qui prend sa
source au bas d’un morne particulier, sont
celles dont le cours est plus égal et le plus
tranquille à leur embouchure ; elles ont le
plus de rapport avec nos gros ruisseaux de
France.
Une ravine, appelée du Charpentier, ira—