~ la caractérisent, sont molles et flexibles, lors«*
Vendé- flue l’animal est vivant : ces pointes semblent
miaire. composées d’une pellicule cornée qui couvre
la coquille, et dont elles sont un prolongement
situé sur de petits trous ; le plus récent de
ces trous forme souvent une échancrure à la
partie inférieure de la bouche. L ’animal que
j ’observai à mon aise, est jaune très-moucheté
de noir, ou plutôt noir tres-tacheté de
jaune.
CH A P IT R E
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c h a p i t r e X I I.
D * l a R i v i è r e d e l ’Ë s t J u s q ü ’à l a
P a r o i s s e S a i n t e - R o s e .
Vendè-»
miaire,
M ö n s i e u r Perier des Bains, parent de
M. Hubert, sachant que je désir ois visiter la
rivière de l’E s t , dont il est voisin , nous avait
fait offrir de nous arrêter chez; lui ; il vint nous
prendre à Saint-Benoît, d’où nous partîmes
l e 2,5 v
De Saint-Benoît à la rivière,de l’Ë s t, le chemin
, toujours assez soigné, continue le long
de la mer, souvent très - près de la côte. On
passe plusieurs ravines, qui méritent une certaine
attention. L a première est la rivière Sèche,
dont nous avons déjà visité une partie du lit ;
elle a formé, par ses charrois, une pointe qui
porte son nom. J ’ai cru remarquer qu’en ce
lieu les galets de la plage étaient plus volumineux
qu’ailleurs 3 le chemin passe entre cette
plage et une sorte de promontoire de la même
nature que la pointe du Rourbier, mais qui en