'en quantité des filons de laves trappéennes,in-
,, finiment variés par leur disposition,Yende- A n leur ép, âismiaire.
seur et ]a manière dont leurs fissures et leurs
prismes se présentent. M. Hubert qui a visité
ces lieux en homme instruit, a vu un filon
dont la partie inférieure se trifurque d’une façon
singulière dans un lit de breche r les branches
de la trifurcation qui n’ont qu’un ou deux
pouces d’épaisseur ont deux ou trois pieds de
long.
. ’ ’ ' A n X.
- Vendé-
Ci H A P I T R E N . miaire.,
Q u a r t i e r d e S t . - B e n o i t . N o t r e
S é j o u r c h e z M . H u b e r t .
.Auprès avoir mis en ordre les récoltes minerai
ogiques et botaniques de la veillé , nous partîmes
vers neuf heures pour Saint-Benoît.. A
peine avions'-nous traversé la rivière qui a un
grand jet dp’pierre àPendroit du passage, que
nous rencontrâmes M. AzY*Y l’auié : il savait que
nous-étions chez M. G**¥ , et venait nous voir
pour nous engager a nous arrêter chez lui. Infiniment
sensibles à cette politesse, nous le suivîmes.
Il nous' présenta à son aimable famille,
composée de! son respectable pere -, de sa mere,
la femme la plus officieuse possible, de deux
autres frieres* et dé quatre soeurs charmantes
qui, pat- leurs grâces et par leur mise, me rappelaient
Paris. Nous partîmes de suite après le
dîner , comptant bien revoir la famille AzY¥¥,
ou l ’on nous avait comblés de bontés.
L e chemin depuis la rivière du Mât jusqu’a
Saint-Benoît est très—beau. Nous passâmes la