A n X.
Bru-
Jaaire.
■couvrant l’espace qui était entre nous et les
Salazes, ils semblèrent séparer du reste de
l’île ces montagnes dont les masses grisâtres
étaient comme suspendues dans les airs (r).
En quittant la caverne de Cotte, nous nous
dirigeâmes vers l’est sur une espèce de plateau
assez inégal, et élevé i le sol était aride et sec ,
formé de toutes sortes de débris de laves. Nous
arrivâmes bientôt à une coupee perpendiculaire,
du haut de laquelle on domine sur la
plaine des Sables où il était question de descendre.
L e pas n’est ni haut, ni très-périlleux ;
il Faut le chercher à l’endroit où l’on trouvé
des déboulis de sable volcanique, et ou il ÿ
a Un trou assez considérable sur le bord du
rempart, qui me paraît encore un ancien petit
«ratère très-détérioré.
Les lieux: où nous arrivons sont bien curieux
et par leur aspect et par leur ensemble. Je
dessinai le point de vue qu’ils présentaient, et
que terminait le dôme du Volcan (2). L a plaine
des Sables peut avoir deux lieues dans son plus
(1) PU X L L Le Piton des Neiges et le Bénard, vus
par-dessus les- nuages, des, hauts de la Rivierë des
Remparts,, ;îotx aono
(2) PL X t l l , fi g. 1. Yue de la Plaine des. Sables,
'prise du Pas des Sables»
grand
6 est terminée ^à l ’est bniaern Px ' - « et A—s X.
l ’Pnni Pdr le rempart de
*■ -Enclos auquel elle confine ; elle est L , Bru“
nient unie nn U ■ absolu- maue.
V e r s h ° “ S a ,b a ,S S e e n P e n t * in s e n s ib le
U n’y trouvai V,e" t “ “ ° rd de ' ’Enclos,
- L arai nncnne végétation
« A n ^ d a ca /ra . N. chap. X V t t r , p. 3 ,6 .
laits, adoras n ! • *“ ^ Utescensü lan cer
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femlles plus aiguës et plus vertes; elles sont d’ m ^
disposées en croix, comme celles du «/> • f & ir^
ou des jeunes pousses à^hy^ope. ec“ ™ata>
Chypericum angustifolium, habite le, ™
encaîssemens au graud bassiu, „ ne g ,
dessus de quatre cents toises. Ses feuilles sont d’ II
«n peu glauques dessous: ce n’est iam . aiUeurs
arbre comme le penticosia. ■:**.' §raDtl
Ce der„iw doaae ^ ^ ^
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