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A N x ‘ Quant à l’espèce, c’est celle que Lamark à
Vendé- aPPetée hètèrophylle (1). Comme la figure qu’il
Bliaire* en donne dans l’Encyclopédie, est loin d’être
parfaite, nous ayons cru devoir le faire graver
de nouveau (2).
Notre alléluia comiculè (3) croissait avec un
illecebrum (4) sur toutes les rocailles ; on le
rencontre dans les jardins et les lieux cultivés :
c’est une de ces plantes auxquelles tous les clidu
genre est d’avoir un calice persistant, partagé en
cinq à sept lobes ovales.
Point de corolle.
Etamines très-nombreuses, persistantes, plus longues
que le calice.
Un ovaire supérieur, ovale conique, surmonté d’un
f tyle trifide ou quadrifide au sommet, et à stigmates
^impies ou didymes, persistans.
Le fruit est ovale, un peu toruleux et alongé, uni-
loculaire -, les semences nombreuses y sont fixées sur
un seul côté.
(1) Ludia ( hèterophylla ) foliis obovatis , nitidis,
venosis ; junioris fruticis minimis, dentato-spinosis ;
fruticis adulti majoribus} integerrimis. Encyc. mét.
die. n°. 1.
(2) Pl. XXIV. Ludia heterophylla.
(3) Oxalis corniculata. L.
(4) Illecebrum Maupitianum. Ridh. Mém. de Finit,
T. 2 , p. ÿ3.
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mats conviennent, et dont les graines arrivent An x .
avec celle des plantes potagères. vendé-.
, 1 7 1 miaire s Hubert nous avait annonces pour le 20 cliez
M. Patu de Rosemond, qui dessine et qui peint
très-agréablement le paysage. Il vint nous prendre
le matin chez son oncle au quartier, pour
aller de l’autre côté de la rivière des Roches,
où demeure M. Rosemond. Cet aimable habitant
me montra son porte-feuille où était un
grand nombre de vues du pays qu’il a dessinées
avec le plus grand soin, et dont la plupart sont
d’une vérité singulière 5 il a saisi au suprême
degré la végétation du pays ; les bambous, les
vacois , les palmistes, les houatiers , les la
taniers } etc., sont on ne peut plus heureusement
rendus et groupés dans tous ses paysages.
Sur le désir que je lui en témoignai ,
M. Patu m’offrit de copier tous les paysages
qui pourraient me faire plaisir dans sa collection
; fai' usé de cette liberté, en me réservant
de rendre le témoignage qui est dû aux talens
d’un amateur trop modeste, et dé réclamer
l’ indulgence du lecteur pour les vues que j ’ar
prises, d’après nature, et qui ne- peuvent supporter
la comparaison. %
Un tableau à l’huile, de M. Patu, peint avec
une grande fraîcheur de-coloris, me frappa par