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'naissent cepgpdant à la base du tube ; enfin,
que • îa. pppsule 11e Couvrait point , et. qu’il
• fallait une certaine pression pour en ¿carter les
vgjyesv P ’aprçs ces: considérations, M. Ven—
ten^t ja formé un genre nouveau pour le végétal
. dpnt ; d rÇ^t, question ; il l’a dédié au
chevalier ide Saint - Lu b in , qui accompagna
autrefois , Com^ne^son . dans plusieurs de ses
o^cursions d.’histoire naturelle (1), f.
Jard. de Cels. ÿB. Ly.si'
if^hickMquriiiançit.hdtm. Xllus4 des'genres, n°. 1980*
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l e R e m p a r t d e T r e m b l e t j u s -
B r u l é d e l a B a s s e - V a l l è e .
D e p u i s
t.q u ’ a u
P e u après la cascade de laves de la ravine des
Citrons-Galets , nous quittâmes la rive moderne
de l’Océan, pour gravir sur l’escarpement
au pied duquel nous cheminions depuis
que nous avions laissé le Pays-Brûlé.
L e rempart n’avait guère plus de cinquante
pieds de hauteur ; à sa cime commençait la
paroisse de Saint-Joseph, L a plus grande partie
de ce quartier, tout nouvellement établi,
est encore sauvage et inhabitée. L e sol sur lequel
nous nous trouvâmes, était absolument
semblable- à celui du Boié-Blanc ; une forêt
majestueuse l’ombrageait, et les racines des
arbres mousseux de cette forêt serpentaient à
là, surface\ de laves peu détériorées, et qui
^’étaient recouvertes par aucune terre capable
de fournir à la végétation. Je remarquai l à ,
en plus grande quantité qu’ailleurs, un beau:
palmier que les noirs appelaient palmiste*