
imposer par quelque Iokosë i3.’extraorclir
naire qui fes convainque, que -la race‘des
Blamesest supérieure à rieur. J’avois un
pistolet à deux coups, ’ jede déchargai sur
les deux moutons, leur cassai, la cervelle
à tous deux. Mes Nainaquois connoissoient
l ’explosion d’une arme à» -feu,} ils avoient
Vu des fusils entre les mains de quelques
colons 51 mfeis' ils ne eonnoissoient point
de pistolets, et ils ne pouvoient comprendre
( c’étoit leur expression) commeid:’ un
dnstrümeut si petit étoitnttssirrtéchant Un
* grand. Mon; coq et nia- poule n’a voient pas
été pour nuX 'tin moindre sujet'de surprise.
Ils admiroient la -familiarité de ces ani-
rinaux-qui", à leur ordinaire -, venoient-ro-
der et ste -promener autour demoL Ifs-a’é-
toriricriërtt-de les voîë r aussi-privés-qd’un
boeuf}-mais -ils ne cônëevoient pas d é quel
usagé pôuvoient ;m’être ,’3 en voyage , des oiseaux:
‘d’une taille aussi médiocre
Bkstër mé'Jséi^ok-i:d?-idÆeipt,ètoé' dans 'éëtïfe
conversation § et j ?avouequ’elle rn arrnfs ëit
beaucoup.
Nousmritts rendîmes mùfçfaal, qui étoit
çompbsé d ’émdVon cinq • lîdtt;é^
par conséquent peu nombreux. L«e soir ,
qtiand les troupeaux .‘furent revenus du pâturage
y î les femmes m’apportèrent du 1 ai 15
-et il y ¡en avoit* une isii 3grande - qnantia»
que plus de la moitié fut perdue •} mes
•chiens eux-mêmes y renpncèrent. Pour
Kees, après, avoir couru dé terrine en .tear-
rine assouvir sa gourmandise , il avoit été
obligé d’-y «renoncer comme-eux.
Après ces préliminaires, lâ dà'nee commença,
e t, comme pour me faire priris
ddioitneuf, èllé eutlieuprès-dë mritèrifë.
Il ne me fut pas possible de goÊtëf' nri seul
instant *de repos. -Pour mon monde , la. joie
"les avoit enivrés'. La mêmeeliose arrivert
toujours dans des liai tes pareilles; Cfotrë
là bohne chaire et les -plaisirs , on-étOit-en-
core dispensé # 3 - ^ i¥è^
tira àa point # n jj our pcriir dormir:} étUior,
quoique-harassé -par lëéspècfâëïe et les-ctis
de cette multitude , ‘]ë<éftisisi MPri füsîf, èt
suivi dë mes chiens j ’allai battre la camé
pàgnè*^6©'^ 9xrff y f-tp!
lie liéiï rie fri’âri'nonçôit pOtïlt! une chasse
licuréüse. ^îTéînë 'dé cou woiss ah loin sur les
îhd?ïfegnes:qué qrielquës arbrisseaux claire