
guimbarde. Cette , fête burlesque n’étoit
point sortie de leur mémoire. Us ne se rap-
pelloient qu’avec transport et enthousiasme
instrument qui leur avoit donné tant dé
P^-isir ; et d’après leurs éloges, Engel-
ifffeçfet,. persuadé qu’un homme quj jpuoit
de la guimbarde étoit un excellent musi-
cieit, et qu’un musicien parfait savoit toucher
.tous les instruirions, avoit imaginé à
son tour de m’employer A recréer la société
reunie dans l?habitation. :
Il avoit chez lui une manière de. violon,
q u i, suspendu au.jnnb près de son foyer ;
y sechoit en silence, sans en avoir été dé!
croche ■ une seule fois.'depuis dix ans. Pour
surprendre agréablement la compagnie , il
renvoya chercher secrètement; puis $ quand
je fus dans l ’assemblée, il mè le mît en
mam, en me priant d’employer mes, talent
a la: divertir. :0n aur(a une idée de ce qu’é-s
toit l ’instrument, ? ¡quand j ’aurai dit.qné.ses
cordes avoient été faites par Engelbrecht
lui-meme. Néanmoins je le pris , nt j ’y raclai
quelques contredanses, qui à l ’instant;
et comme par magie , mirent en mouvement
toute la compagnie. Cette musique
* ®r A f r i q tr e. i 3 f
me < déchiroit le tympan ; mes dents grinr
çoient de déplaishAim3-*8 toutes les-oreilles
la trquyjqient délicieuse,let l’onme cessa,dé
sauter que quqnd § Ja; lassitude, cffsfcfc-j épuisé
les forcés. Le lendemain* hommes) et'iemt
mes vinrent en! troupe? me supplier; de^i m®
prêtendé: nouveaufàdé^Æ ipladsii^i rLdj ssttar?
lendeniain, ce furent ¡mêmes insf ah<2esv<En-
fin, més trois journéésrseipassèrênt)presque
toutes) entières'ài gratter les boyaux d«. vio-»"
Ion -; : eh la i cohue éé : irémoûssoitfsiiaisé ) aub
tour der mdi.r rh t èètfitiihôniiH A „ sminSH
* Au, milieu’ de -eè sdhdt,fii:yraVctit- iiife
chose qui m’étomoeoitjp desti cpieik dankd
■occupâtrtousilem instans *i-et qu’ômjpui <Ai-
bliédæiliqueùr (favorii® .aMais depukfpaïàdq
véede Pjnaisd; ©t par ses libéralités, .dt&’W
étoit stand hu),. qk’oras aVoit fini pari la.tram-:
ver detfcstable. etrs’eri dégoûter. Jaloux. rdo.
témoigner mainsseònnerisSance à ûne familll©
qnir mkyoit rendu des ; services. etiqui< alloit
™ arehdre eneoréi, 'je' crus pourvoir rëni-t
placef-iPhiard; efcqàenvétyai chercher,cfcpisî
mon chariot; une • cave • remplie dërflaGorrsa
Elle icoiitenoitidesiliqueurs fines de ^M a r tinique
,ipar la dame r ‘4f*fouxv Cbetéiirfiriàj