
«t sur-tout beaucoup de morceaux de quartz
arec des accidens singuliers. Mais je vis
une p i e r r e ’ extraordinaire-et à laquelle ,
jusqu’à présent, je n’ai pu encore donner
de nom.
Elle est grosse coipipp. rme muscade,
ch a to y an te comme l ’opale Ou l ’oeil de c b a t ,
-et d’une couleur plus rembrunieavec une
' zone couleur W
Depuis mon retour en Europe,, je-l’ai çherT
cbée en vain dans le commerce et dans
les cabinets, et ne l’ai trouvée nulle part.
Les naturalistes et les jou^iliieps ne la con-
noissoient point. Elle est actuellement en
Hollaudëi-ckez l’un çle mes ami s , rlaye ae
Bxeukelvvard, et elle fait partie de son pré,
cieux cabinet. i , : ; ï
Il y a voit aussi, sur le rivage, de petits
bancs d’un sable -pesant e t n o ir qux..q.;etQn
an tre .cb o se qrie des feagmens d e e r i s t a u ^
Q u o iq u e la petitesse d u sablon m’empecjuÿ.
cle compter les facettes je, l ’auxols_ $ 0 ,
po ur ides p a rce lle s de grenats,, p a rce qu ap p
ro ch é de ma boussole , i l e n la iso it inou-.
■ vojr l’aiguille. Peut-être , au reste, cet e y
fet desUiaenétisine étoit-il du à des parues