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riches, en auraient fait l’ornement ! et que
de fois je regrettai de n’être pas un botaniste
profond ! Qui sa it, me disois-je à moi-
même , s i , dans ce nortibre, l ’art ir’eh trolt-
Yeroit pas beaucoup qui fournir oient à nos
étoffes ces belles et indestructibles teiriturres
qué, jusqu’ic i, nous ayons cru excldsi^-
Vement propres à l ’Indfe ? Qui sait s’il n’y
trouveroit pas de nouveaux remèdes pour
quelques-unes de ces maladies dont il abandonne
le traitement parce qu’il en mëcon-
noît la cure? 8 ‘ ' “
Humilié de mon ignorance, qui' ne me
permettoit, a cet égard, qu’une admiration
Vague et sans b u t , je me contentai, corn-,
me je l ’ai dit, de dessiner celles dés fleurs
qüi me parurent les plus extraordinaires et
lés plus belleç. Je recueillis des graines de
‘celles qui étoieht en maturité. Enfin, j ’es-
sàyai d’en dessécher et d’en conserver plusieurs
dans le papier, selon la méthode usitée
chez les botanistes»! Ce dernier moyen
est celui que j ’ai lé moins employé. Outre
qu’il est impossible à exécuter pour les plantes
grasses , il nie rébutoit par l’excès et la
longueur des détails minutieux et inutiles
Tome II, l