
reprendre lra route que nous avions par*
courue entre les deux chaînes de montagnes,
de reconiioître l ’Olipliants ^.op,,et delà
, suivant toujours la tiace de mes voitures,
d’aller annoncer à Swanepoel et à sa
troupe qu’il alloit leur arriver du secours.
Dans 1 apres-dîner, Klaas Bas ter employa
ses gens et»ceux des miens, qui me res-
toient, à construire une liutte particulière
pour mon usage. Vers le soir, son
frère partit pour exécuter le projet convenu.
Je lui donnai deux fusiliers, destines
a l ’escorter et à lui servir de guide j
et d’ailleurs, en passant près de lafontaine,
il devoit encore emmener avec lui quelques»?
uns, de mes gens ; car ayant à charger subies
deux voitures, ceux des effets de-la,
dernière que j ’avois abandonnés,^ il lui fa j r
loit beaucoup de monde.
Le tçms qu’alloit exiger ce voyage , mq
forçoit indispensablement à passer quelques
jours dans le kraal ; peut-être, même >
étois-jè menacé d’y faire un séjour assez
long, -puisqpe je de pouvais mé dispenser
de donner à ma caravane, à mes 'cheveux
et à mes boeufs mêmes, s’il m’eñ res toit encor
®
W . éb bis.
C A M I