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fri que. En vain cherchions-nous à éloignet
les autres par notre rnousquetterie, les hur-
lêmens douloureux de celle que je venois
Rabattre, sembloit les avoir animés davan^
tage à la curée,; et elles ne devinrent qué
plus âpres à l ’attaque j elles ne quittoienturi.
endroit que pour revenir dans un autre. Nos
Bêtes, qui les appef*ce voient ainsi que nous,
ê t qui enteridoient leurs cris, s’agitoient
•violemment , et. témoignoient une grandè
frayeur. Enfin, pour notre sûreté et pour
ha défense du troupeau, nous fumes obligés
d’être sous les armes pendant toute la
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Outre ces-, hiennes et les jâckals y ani-C
maux qu’il noua étoit aise de distiiiguër à -
lèur v o ix , j ’avois remarqué encore le Cri
particulier d’un autre animal. Mes gens lé
désignoîent sous le nom de loup de terre),
Je né le connois point, et n’ai jamais vu
de lui qu’un morceau de sa peau que je
trouvai, comme je l ’ai dit ci-dessus , dans
une horde, et qu’à l’inspection je jugeai
avoir appartenu à un isatis. Quoiqu’il en soit
de l’animal , il paroît, qu’ayant les mêrneâ
il
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