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La b l a n c h e — le reste de l’Europe, la Géorgie, la
Alingrelie, le Cardistan.
Zimmermann * etKlügel " proposent 1 u n e t 1 autre
quatre variétés dans la classification du premier.
La première occupe l’Europe ;
La deuxième, l’Asie boréale et l’Amérique septentrionale
;
La troisième , l’Arab ie , les In d e s , l’Archipel indien
;
La q u a tr ièm e , l’Asie mé r id io n a le , la Chine et la
Corée.
La variété nègre est regardée comme provenant
de la première ou de la troisième de ces races.
Dans la classification du second :
La première peuple l’Asie, l’Europe e t l’Afrique
septentrionale ;
La deuxième comprend les nègres ;
La troisième, les Américains, ii l’exception de ceux
du nord ;
La quatrième, les insulaires de l’Océan austral.
Aieiners ® rapporte tout le genre humain cà deux
races, la belle et la laide; la première se compose
des nations à peau blanche, la seconde de celles dont
le teint est plus ou moins foncé.
Aletzger * ne reconnaît aussi que deux variétés
principales, les blancs et les noirs. Les hommes bruns
‘-i!
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1 Geographische Geschichte des Menschen, t. I.
2 Enciclopädie, t. I, p. 23.
3 Gundriss der Geschichte der Menschheit.
'■ Phisiologie in aphorismen. p. 5.
et basanés forment des nuances intermédiaires.
Nous citerons encore Erxleben, qui distingue six
races, savoir : les Tartares, les Asiatiques, les Africains,
les Lapons, les Alexicains et les Européens.
Ici se place la classification de Blumenbach, qui,
pa r le talent de son auteur, p a r l’étude profonde qu’il
fit des races h um a in e s , et les excellents ouvrages
q u ’il publia sur ce sujet, fut généralement adoptée
et eut la plus grande influence sur celles qui suivirent.
Blumenbach reconnaît le genre h uma in comme
composé de cinq variétés principales :
Ce sont les races ou variétés : caucasienne,
— mongole,
— nègre,
— américaine,
__ malaise,
Cuvier, dans son Tableau élémentaire d’histoire
naturelle des animaux, publié en l’an YI, distingue
aussi cinq races : la caucasienne, la mongole, la n è gre,
T hyperboréenne et l’américaine ; mais plus tard,
dans son Règne animal, il réduit ces races aux trois
premières, ne jugeant point les autres suffisamment
connues pour former des races particulières.
Duméril, sans proposer de nouvelles classifications,
dit * : « On rapporte à cinq variétés principales ou à
cinq races les divers individus de f espèce humaine.
Ils diffèrent principalement pa r la couleur de la peau,
1 Traité élémentaire d'Hi s t o i re naturelle. 1804.
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