Dans le tarsier, il y a trois canaux hépatiques;
un qui vient du lobe droit et deux des lobes gauches
; ces canaux se réunissent avec le cystique,
à peu près au même endroit, pour former le canal
commun.
Dans le galéopithèque v a r ié , il y a aussi plusieurs
canaux hépatiques qui viennent se joindre
au cystique.
Dans la roussette , il n’y a qu’un canal hépatique
qui se joint au cystique, ou plutôt au col
de la vésicule.
Dans le nociilion (n . leporinus, L . ) , le canal
commun, qui est grand, est formé presque en
même temps du canal cystique et de deux canaux
hépatiques.
Dans la taupe, il y a deux canaux hépatiques,
dont celui qui sort du lobe moyen auquel la vésicule
est fixée, reçoit le canal cystique , qui est
très-petit. Les deux canaux hépatiques se réunissent
derrière la partie moyenne du foie pour former
le canal commun qui/perce le duodénum, à peu
près à 0,025 du pylore.
Dans le co ati, l’orifice du canal commun est
entre quatre et cinq centimètres du même point.
Dans le hérisson , on trouve plusieurs conduits
hépatiques qui s’unissent au cystique.
Dans la loutre, le canal commun se dilate en
un second réservoir près du duodénum.
Dans la belette, il n’y a qu’un canal hépatique
qui sort de la partie moyenne du foie, et s’unit
Me bonne heure au canal cystique. L e canal com-
E n in qui en résulte est long et s’insère près du
^ p ylore.
9 Dans le genre des chats, il y a toujours plusieurs
■ canaux hépatiques, qui répondent aux différens
«lobes, se cohiposent de branches qui en sortent,
Sou en viennent eux-mêmes immédiatement, et
■ s ’unissent au canal cystique, qui est plus petit
■ que les premiers. L e canal cholédoque perce le
■ duodénum à.4, Ô, 6 centimètres du pylore , suivant
île s espèces. Il forme, aussitôt qu il a traverse la
■ membrane musculeuse de l’intestin, une assez grosse
■ ampoule, ayant une cloison membraneuse qui la
■ sépare en deux cavités ou loges , dans la première
■ desquelles s’ouvre le canal pancréatique.
Dans le ch ien , le canal commun s’insère dans
■ l ’intestin avec une des branches du pancréatique.
■ Les canaux hépatiques s’unissent au cystique assez
■ près du col de la vésicule, à un centimètre au-
■ delà.
K ' Dans lephalanger brun, l’insertion du canal coin-
Imun est à quatre centimètres à peu près du pylore.
Dans le sarigue manicou, les canaux hepa-
1 tiques sortent du foie par trois branches princi-
■ pales, qui se réunissent au cystique et forment le
éanal commun, à-trente - trois millimètres à peu
près de l’endroit où celui-ci se joint à l’intestin.
L ’orifice de ce conduit est commun au pancréatique.
Dans le hanguroo géant, le canal cholédoque