On a cru que coupées en morceaux, et mises sous la
plante des pieds, elles guérissoient de la peste et des
fièvres brûlantes; qu’appliquées vivantes sur le front,
elles appaisoient les maux de tête ; qu’attachées sur la
nuque, elles calmoient l ’inflammation des jeux ; que
placées sur le ventre, elles faisoient disparoître la
jaunisse; que leur fiel chassoit les vers; et que les
poissons guérissoient leurs blessures, en se frottant
contre la substance huileuse qui les enduit *. *18 19
* 1 6 rayons à chaque pectorale du cyprin goujon.
« 19 à la nageoire de la queue.
18 rayons à chaque pectorale du cyprin tanche»
19 à la caudale.