L ’ É S O C E T È T E - N U E ' ,
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L ’ É S O C E CHI RO C ENT R E * .
J_iE premier de ces deux ésoces habite dans les Indes;
le second a été observé par Commerson , qui en a
laissé un dessin dans ses manuscrits. Nous lui avons
donné le nom de chiroceritre, pour indiquer le piquant
ou aiguillon placé auprès de chacune de ces nageoires
pectorales que l’on a comparées à des mains. Une sorte
de loupe arrondie paroît au-dessus de ces mêmes
pectorales. La ligne latérale règne près du dos, dont
elle suit la courbure. Les écailles sont petites et serrées.
Les deux lobes de la caudale, sont très-grands ; l’inférieur
est plus long que l’autre 3.
1 Esox gymnocephalus.
Id. Linnéj édition de Gmelin.
Esoce tête-nue. Daubenton et Eaüys Encyclopédie méthodique*
Id. Bonnaierre 3 planches de VEncyclopédie méthodique.
i Esox chirocentrus.
3 io rayons à chaque pectorale de l*ésoce tête-nue.
19 à la nageoire de la queue.