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diffère de l’éperlan des lacs par son odeur , qui n’est
pas aussi forte, et par ses dimensions, qui sont bien
plus grandes. Elle parvient communément à la longueur
de trois ou quatre décimètres; et dans l’hémisphère
antarctique, on l’a vue longue d’un demi-mètre.
Vers la fin de l’automne, elle s’approche des côtes ;
lorsque le printemps commence, elle remonte dans les
fleuves; et l’on prend un si grand nombre d’individus
de cette variété en Prusse, auprès de l’embouchure de
l’Elbe, et en Angleterre, qu’on les y fait sécher à l’air
pour les conserver long-temps et les envoyer à de
grandes distances *.
St inter 5 en Livonie, •
Sallakas, ibid.
Stinckfisch, ibid•
T in t , ibid.
S]om , en Suède.
Quatte, en Norvège*
Jern-lodde, ibid.
Smelt, en Angleterre.
Salmo eperlanus, var. B . Linné3 édition de Gmelin.
Salmone éperlan de merr variété de l’éperlan. Daubenton et Haüyj
■ Encyclopédie méthodique.
Id. Bonnalerre} -planches de VEncyclopédie méthodique.
Blochy pl. 28 , fig . 1.
Willughby3 Ichthyolog. tab. N. 6 , fig. 4.
Eperlanus. Gesner, Thierb. p. 180 , b.
Spirinclius. Jonston, Pise. tab. 47 ) fig*
* 7 rayons à la membrane branchiale de l’osmere éperlan.
i r à chaque pectorale.
jq à la nageoire de la queue.