(Ç VOYAGE AU, L-.E V-ANT; r
é-tfangers qui ont voyage dansfle païs â en
ont fai qiiYcir, -„grand iiqùihtë *; £4 à ■
*j Ôn y;:en>re par
:à> fleur de terre , par laquelle on le fait -delgen^
dre comme dans un Puits , à .caufe dequoy
aulîifcesiOiiYeritur:e5 en portentie p Q ^ j k i ’p a
fe fext pour cet effet de cordes ou d une échelle
, fMon quelles x?n£ plus ou moins de profondeur.
I
.Figure des 3 v „ Ges Puits, dit Mr/TMy.enpt , dont j ’em-
fcuëi à eH' prunte icy des p a ro le v .» fontquarrez ,b i ti s
4 d’une bonne pierre, ô£ pleins-de faible qu’il en
„ faut faire tirer. Nous, defeendîmes dans
Hceluy qu’on avoitouvertpour nous, & nous
nous fervîmes pour cet effet d’une corde que
ÿs nous nous étions liée autour; du çorps , &
^ que eeux qui étoient en haut tenoient fer-
H nie. Quand nou sfûmes àla profondeur d’eni
j, yiron
. ( r t)b n ne l'aifTe pasd’en
découvrir tous lës> f ôüéS?
pour peuqu’on cherche; on
en ouvrit un e , il n’y a pa?
long-rems j près d’Aboufî'
r ë , qui n5éft pas loin de Sa-.
cara. • On énvbya, ïl ÿ a
quelques’années > à Monfei-
grfieut le C]omtetde Tqufour,
Xejlatête d’un bçeuf, qu’on
avoir trouvée dans line- de
ces €aves P enfermé © dans
une calffe decedre, peinte
.& dorée, & environnée d’une
baluftrade de même bois j
gc on ne doute pas que ce ne
fut celle dé leux Dieu Apis;
que les Egyptiens embaù-
moient avec. grand foin*
ainfl que les autres animaux:
feçrez, dont ontrouve tous
le s ..jours tant de Momies
dains des pots deterrë.
- mk E g y r t e , S yri e f :| - ?
~, viron trois picques,nous trouvâmes le fond*
** Là nous nous-mîmes le ventre à terre ôt nous
„ nolts gliflames par urt trou,parce que lé*Mo-
ré's n”avolent paslbl^n °té le fablêi Nous en-
„ trames enfuite dans unepetite chambre,dont
ƒ, les.mnraillé's:&: la Voûte étoient de pierre*.
xy ôt où nous vîmes t rois bu qu ai re-c orpsyimu i s*
j y dont il n’y en-avoir qu ûn d ’dnti^r >les au-*
„ très étant en pieces' ôc en morceaux , d’o»
i, il nous fue aifé de eonje&urer que ce Puits
I® a voit déjà été ouvert. Ge^cb-rps > dont nous
„ Venons de parler y-étoit exit! aoMinairément
y, grand ôt large s & étoît dans qn cercuëil
y y d’uii“b oi Svfo i t ép a îëjt§ qui etb i t t tes - bien fer-
'iJsn^é^'tôïà ldi rtqvv-
|§ væflies vq ü i1 êtbîi de5 Yrtéf S^c^iAOte t? qu’on
appelle en Egypte. Figuier defPharaon, n’é-
'"yy toit point du tout pour rfy Sfr aufli n’eft - il
* y, pas j à beaucoùp pjrés-’ füjbtf a fô ÿ o u rrir
ÿ, que d^àutrelbois. Âti^ddflï^ dn cOffiréqon
B voyoit en feülpturé le vifage; de celui qui
„ étoit enfermé dedans. On trouve aufli des*
„ cereuëils;ou coiffes qui font= de‘pierre y o ù
B le v ifâg e^ù mort qu'ils renferment eft pac*
„ reMleméht taillé y éc tout autour quelques
ay ’hgufes hiërôg 1 yphîquës'.. On en voit enco-
„ re (^uf^^rôiElêââS^-fFe.^ qui flÿnt'fait^ de
plü^ëùfs tbirlés cbliéesl’itnb .fur
„. font aufli forts que ceux dé bo is i J ’ën ày un