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EN E G Y P T E y S Y; R IE , 3.OI.
grand© quantité , entre, le (que 1.1 es j’en tiou-
yay une par hazard y qui étoit tellemen t'fen-
duc, que de chaque côté de la pierre p n y o it
la moitié de Farte te du poidon , & les morceaux
fç referment auffi jûfte quand on les
rapproche,., que fî la pierre étoit entière 5 de
de toutes celles que j ’ay vûës je. n’en ay pu
trouver une femblable,: J ’ay deffiné ce s .deux
morceaux l’un auprès de l’autre, pour mieux
faire voir comment on voit le poiffon-à demi
de chaque côté , ç’eft-à-direque chaque m orceau
reprefente la moitié clu poilfon.^comme
on le voit icy. Il faut que j ’ajqûte que cette
pierre eft plus longue que la Taille-douce ne
la reprefente, (a)
. Comme ce chapitre ne doit contenir qu^
des. matieres féparées ,, ce que je vay dire peut
bien avoir icy fa place. Le de Janvier on
reçût icy nouvelle que. deux vaiffeaux Marchands
François de deux Saïques Turques
avoient
( a 5 Jray vü'de ces Pierres
dans les Cabinets des eu-
•üeux. Eft-ce un. j eu de k>na-
Uire , ou des ? goi/Tons qui
s’étants- trouvez, dans le limon
au tems düDeluge ,8s
ce i limon s’ëtarit durci a
formé cés pierres ,8s l’empreinte
de rarrete dupoif
fon yareffé?Ôn trouve fow-
Vent dans dès Carrières dé®
Coquillages & des Huîtres &
l|éeaille qui s’y font-incorporez.
Les Mémoires de'
l ’Acàdemië dès Sciences'*.
8t les loumaux des S ça -
van ts,. parient fouyenrdfe?
cesfingularitez«.
J^faftreti#’
arrivé à,/
quelques^ ^
vaifleanx."
an Port de
S. Jean d’M- ore..