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ne à connoître que Dioclétien en rebâtit les
remparts trente ans après.. Environ 1 an 40^
4e Jefus-Clirifl:. elle étoit le principial-quartier
de la première Légion des flJp :ie n s, &C
quojr que Stephanns ne lui donne point d’autre
titre que celui de , il eft;;’évident
pourtant qu’elle a été le Siège de l'Archeve?
que fous la Métropole de Damas,. Peur dire
à prefçnt en quel liée le 8t par qui elle a é t é-
entierement .renverfée ôc réduite au miiera-
ble état;où nous la voyons, nous n’en troun
vons aucune lumière dans l’hiftoire ; mais il
y a de l’apparence quelle ne fut ruinée que
long:-tems après$ dans .ces liécjes ténébreux,
durant les guerres des Sarrafrns : Ôc qu’après
quelle eut été brûlée & ravagée elle n ’a jamais
été rebâtie ; En effet les fuïnes en font
encore très. entierçs j & ce qixi eft caufe qu on
ne les a pas voulu transporter pour les employer
ailleurs , c eft.qù’il n?f avoit pas de
ville conlidérable allez proche,
Pour' ce qui regarde la fituation de Palmy-r
re , par rapport à la Géographie, Ptolomée la
met dans la même latitude que Tripoli qui
eft fur la Côte de Sy.r.ie., mais à quatre de?
grez de Longitude plus yer? l’O rien t, f^avpil
| CUX. • A<jp.
§f i\ l’appelle la Capitale de fedze villes de la
£ N " E <S YTfîTJE V S Y?R'I E ï &C. 441
Syrie Palmy rénienne, dëfquelles‘Jlalis, Dut
naba & Evariq ont depuis été dés villes
Epifcopales. Pline la met à 2.520 milles, de
l ’extrcmité de la G;ôte;de Syrierj & à '537.de
Seleucie furi le vTFigre pnès de(Bagdedj sCes
deux nombres ,2.5 t. ôc 3 37. font mis; à,rebours
dans la plûpart des livres., contraires1 à
•-l’aBthorité,:.-dni<iManidcéû,s&^.Jofe^kiaoiie.t;4’
uné> joustn é e de {chemin* de IlB uphra t e t ôë a fix
journées de Babylopepâ mais èéli^fe dpit en-
fendirede,jonrhées d é cheval vicqiiLifontsen-
,v iron foixpn t è m il les uplar ijodrV le a n cell & left
pour :.lé moins élèdg.née; de cela de liEuphra-
te, Ptolomée. fait : au fti mën don d’une.Rivie-
re aux environs de P aim y r e. y m ais .nos vo.y a?
gëursf ne 1,’dnt point apperçûë 4 Jî. cm m’ëftdé
ruiffeau ouïcanal où ils furent inondez par
l’eau, des pluy.es J dont ce canal eft le lit ordinaire
par où elles s’écoulent!.,; qui en Hy-
yer 3 & lors des?grandes pluyes, a peut-être un
cours continuel , mais qui comme les riviez
jescd’Alep & de Damas ,:ne couroit pas dans
,ce tems-là , i mais é toit tarie r tantpar;l!exha-
7ou) cl iti&nt&b o.-fi iaifon
; < a ) 'Les autres Villès dé
la ; Brqvince PaJmyreeQnp
étoi|nt peu ponnuijs.... Ejy
VQipy de nom' ; ‘ Rejafijâ|
Cmlle Pittea', ’J^iW
da y \Adochk i Danaba > Gôd-
1 Tom. IL
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ma.no.'j ^teia. Et fur l ’Eu-
jgrta&g ^lalts^tSura i\Alar
mata.Ÿoyêz Cellarius T oxn.
i. LJ. Qiâpiÿï.
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