i 4 V oya ge à u L e y an t ;
que nos mêclïes étoient âufïi éteintgs , nous
m nous fîmesremontei: au plias vite., fan-$.ayôjr
il pu avancer un feuf pas, Tout ce que j e puis
h^dire deee- Puits , qu’il otoit Mfâiiiplui
m, ïprofb ndwûe é elui o û nous-étio ndu§,
auparavant. i? ■ ssdéVv? \
Cave avec ino^:fin^itrnpus"n«ü«^lhj^6- oimfcaifle eu?
deux Mot .^ t^e Cave, qui avoit dej.a'Eté vjfîtèe -I Quand
noms nous y fûmes fai* dépendre noiiy .y
^trouvâmes deux Momies , mie grande i &ç
| | une p e tite , qui çtoit celle d’an enfant ÿejr
étoient éhacmme en un iëerén’pih: eèlui
de fe grande ^tofï de marbre, & on y avoiç
,, gravé, fur la couverture, l’âge de .celui pour
i,,. qui i l avoir çtç fait -, nous fîmes^ouvrir les
I P cercueils, mais nous trouy âme s que les Mo?
„'.mips n’avoient rien d’ex>traptd in aire , de?
„ fo rte que nops n%m frmesipa? d e ta tj ôc qup
„ perfonne de nous ne s’en voulut charger.
Cave ap- ? * j 5 Apr es que nous fumes fortis de ce Puits^
Iil&ee >i nous descendîmes dans un autre a qui on
„ avoit donné le nom d’ïvglife? c c to it la Gave
?, la moins profonde de toutes ce Ides que nous
„ avions vûëS'ii elle ne ponfiftoft aqù en^une
,,dongue allée fous térre,qpipafrdëdiins ftoif
,j crépie déplâtré & peinte par tout de fi gu?
3, res hiéroglyphiques/ il y ^yoit dedans une
.y,r frgrande quantité de fable, que noms fuhtes
|p jp flÉ p I y lo u rd e «çips .que npps yïdememy
S y r- Cb , - ^ ô. _ 1 5
f ram e s y. de nopS traîner fur les genoux.
. >y Des. que les |®ancs o n tv û und# Puits*
I j £ k&$ Arahe s 1 es^re mp iidf e nft auiïi-1 e id e faible *
afin: d’en tiré* enerrie de lla^gienrpneautres
,, foisv-Car o e lk lâ le plus grand g aim de ceS
-j4miféra&les* kile moins qu’ilsprennencpomr
„.ouvrir un P uïtpviergei pî^lrtrente piaft rest
„ k raifon de certeichertéle&^vque .ceux xpui
«j| lesfontouyrir fb n tcn d ro itd e parendre.tom
y, tes les raterez ôs toutes les Momks.qni s’y
ai tro u v e n t;... t
à Pour doninét-â pcefent Ptte j uffe- idée dp
éeiCemetacere p p a tCkaMipcdes ;MopileSg^ell
|i faut:Çe rêp relent et .une fort valise .Campa-
àl gne yteutp uniei^itoute-qoUverfÊê delfable^
?,o ù il n’y a ni arbres, ni herbes, nimaifonsi
y, ni f fen:4e feiuhèaM© ipmaisj dont la furfaçe
y, eft toute ;feniée d’os feks,- de bras ÿ héjam-
,, bes ÿ de pieds , de tétesl, de vieuxdinges , de
âiCë^cùIifsinoinpus^ êc de quantité^dmpmt 1res
Idoles, dont les .unes font de bois, lesiairtres
I, de' p Lâtrey avec un i vernis de coùlemp vd r te»
pi: ôc marquées^ tant par de v au t que pppder r
Wr iete , de p lufieur s figu tes h ie rogiy phéques^
„ les Arabes les ont tirées-des Moniies‘y:êc!ën-
yy ftike les ont j e et é es lâ^ne k c h a n t quiéii fai-
rCP-Voilâ ce que dit Melton.
% il eût bon d-ave ntif i-cy le Ledteur que depuis
le temsdoce V oyageur y il faut que les? choies
Figure
Champ
Moinies