.'rY^o'tTAîooe1 'A t* t o i A : N i r ) :i •
Cloître de encore un autre nommé H a n t o u r e ou Cloîtré
5. Georges. Georges. Ils font tous deux fort anciens.
Après avoir ainfi naarehé rlong «téms par un
pais de montagnes très - hautes ^triais très-
agréables ihous yinmès à une chute d’eau,
qui forme une très-belle cafcade 3 dont les
eaux en tombant ne caufent qu’un bruit fourd,
, parce qu’elle eft entré les arbres. Nous descendîmes
de cheval auprès de ce ruilfeau, &
Larel. nous y déjeunâmes^ ènfuite de quoy remon-
rahfcd chëvtal nous vinmes au Bourg de LW ,
ou eft l’ancien Monaftere deSovfi. Là aux environs
les yeux ont de quoy.fe repaître agré à-
blemenc par les belles yûës qu’on a de tous
cdtez e n tre lés montagnes parlês-CafGâ-
des-naturelles qui tombent de tous c&téz.
Gaaofcin. Apres, avoir paffé la G r o t t e de Ste. Marie, nous
arrivâmes un peu après-midy à Canobin ouStî-
noba y qui veut dire l’Aflemblée des Religieux,
Ge Gouvent^qu’on dit avoir étëbâti par l’Empereur
Theodofe,eft. htué fort agréablement
dans la montagne^ & tout environné d’af-
bresj On voit par derriere én -éloignenient la
montagne du Liban aitec lés neiges’ dont el-
eft t ou jours' ^couverte. C’eft icy que demeuré
le Patriarche d’Antioche y St fa Jurifdi-
élion-ssétend p a t ifout c é 1 païs g ôt tout le
long de la Géré fui: tous les Chrétiens! Maroni
tes?:
î n E g y p t e ; S y r i e ; (&fc. &tÿronites.
(-d,).. Celui qui .étoit revêtu de cette
dîgpi|çi^fquç^iy,pafiay;*';étoit&une pérfon*-
ne de mérite '8$ fort civile. Il: s’appelait
tfkaniis Pemsy&i pwfok fortibienldalien:, parce
qu’il jivoit étudié.quatorze ans à Rome.il
nous en c ou r âge a a a che vert le vo y âge que
nous avions entrepris^ &;nous dit:que.s.’i.i.né
neigeoit point,la nuit prochaine y nous airi*
yerions affûté ruent le lendemain aux Cedres.
En e ffe t* g t an t .mon te z de bon matin à chev al^
n Ofts dame s l e Bourg: de Brmfa, qui e d tain fi
i : caufe déjà;quanfkérd’amandiers,
HU 1 J font,, ca,r Br(mJaCi:gmfïe une amande.De
on va au Bourg Hajîel 3. qui: appartient
A rabéSi? D et la :o n v i é nt à Ipfarey t# fq ui e d
fo dernier Boucg U foplus probbe de là Mon-*
tagne du Liban. Nous, fumes? obligez en-oèt
epdroit, de prendre des gens quifeudent les
çhentins au t rave nsde sne igèsycar fansun tel
focouitsdlferoit rjaes^faicite de-sJégàreit' Il fa*
^ I 1 y . L.iO-el fMp, lut
:( a >Des Maronites font I que j ’eft poürrPîs dire icy
■ i ^ Levant J excederoit trop lalongueur
reunis a l ’Eglife Latine ; ils d’une jiotë j je ponfeifle. à
y nt répandus dans les Vil- j ceux qûï voudront s’inftrui-
Jagesdii Liban & de l ’Anéi- | re afônd für ce îüjétr, de lire
Eiban , & dans, les- Vildesll le Voyage, dé Svlrie'falt pair
maîttimes des.Çôtes de Sy-, M. de la Roque. On trouve*
6llt un dç
m d c r tÿ jr e dfcüàait-Sÿénf V fa f S I f K çioles qui'
eanobihi Mais comme ce | regardent ce peuple.
Bïoula.
HafieLI.
pfarey.